Des pays africains sont depuis des décennies, des laboratoires in vivo d’expérimentations de masse (stérilisation, mutations génétiques, infections, virus, etc.) qui sont dirigées par des firmes pharmaceutiques privées, par le département militaire des maladies infectieuses et qui sont financés par la fondation de Bill Gates.
Selon un communiqué publié vendredi dans la soirée, le gouvernement aurait trouvé un antigène dans un vaccin administré à 2,3 millions de filles et de femmes qui provoque des fausses-couches. Ce vaccin a été administré par l’Organisation Mondiale de la santé (OMS) et l’UNICEF.
« Nous avons envoyé six échantillons provenant de partout au Kenya à des laboratoires en Afrique du Sud. Ils ont été testés positifs pour l’antigène HCG », a déclaré le Dr. Muhame Ngare du Mercy Medical Centre à Nairobi.
Le gouvernement aurait déclaré dans un bulletin publié le 21 juillet que :
« Nous demandons aux compatriotes de ne pas paniquer. Nous tenons juste à informer le public que cette campagne de l’OMS n’a pas eu pour but d’éradiquer le tétanos néonatal, mais c’était un exercice bien coordonné de stérilisation de masse avec un vaccin qui régule la fertilité. Nous avons des preuves et nous essayons d’empêcher le troisième tour de vaccination. Une enquête va être ouverte encore une fois afin d’édifier les citoyens sur ces campagnes de vaccination. »
Le gouvernement du Kenya compte prendre les choses en main et a déjà demandé aux populations locales de ne pas s’affoler sur ces campagnes de vaccination.