Pourtant, c’est le roi Albert II que les autorités burundaises auraient préféré recevoir, mais ce dernier a délégué le prince héritier, avec l’accord du gouvernement. Dans tous les cas, l’éducation des futures générations Noires/Africaines, sur la base de la vérité historique, est une priorité. Le moment venu, nous n’aurons plus à nous humilier à ce stade.
Le gouvernement burundais a vu grand avec de somptueuses festivités qui dureront tout le mois de juillet ! Au programme, un défilé militaire en présence d’invités de marque, pas moins de 14 chefs d’État sont attendus, un feu d’artifice géant, le premier depuis 30 ans, des inaugurations de stades, d’écoles, de centres de santé.