KONGOLISOLO
Devoir de Mémoire – Les Jeux Olympiques En Grèce : Amrit, sur la côte nord de la Phénicie, était connue sous le nom de (RMT ou Amrat) dans les textes Kushitiques datant du XVe siècle avant notre ère ou sous le nom de (Marathus); « Dans les écritures classiques, où il est certain que les vestiges très anciens d’Amrit, sont des constructions puntites et non des monuments grecs ou romains dont les premières fouilles archéologiques ont montré que les terrains de sport de type hellénique puis des périodes romaines, ont établi que les La palestre hellénique de Tyr avait été construite sur les vestiges d’une palestre beaucoup plus ancienne »
Devoir de Mémoire – Rome : l’antiquité Noire/Africaine de nombreux jeux (deux figurines en terre cuite de boxeurs Noirs/Africains, la compétition sportive traditionnelle de tradition grecque jouait un rôle dans les jeux romains); « Selon les auteurs classiques, la boxe (pugilatus) était considérée comme la discipline la plus rigoureuse et la plus dangereuse de toutes »
Devoir de Mémoire : les origines du (MMA) et des arts martiaux en général se retrouvent dans cette déclaration de Masutatsu Oyama dans son livre (Advanced Karate) publié par Japan Publications en 1969; « Les premiers documents connus sur les techniques de combat sont des rouleaux de tombeaux hiéroglyphiques égyptiens datant de 4000 avant JC, décrivant un entraînement au combat militaire similaire à la boxe (Ngumi) et à la lutte (Mkazo NCHA Shikana) »

Egypte

Devoir de Mémoire : Le christianisme est une religion sanguinaire, plus que toute autre nation, l’Égypte a connu un état de civilisation élevé, il est indéniablement admis que ce n’est pas en Grèce ou à Rome que la civilisation occidentale a ses bases, mais en Égypte; « Ce prestige a été au cœur de tous les désirs des autres civilisations, d’où les manigances venues de toutes parts pour trafiquer l’histoire; (parmi les détracteurs de l’Égypte se trouve la religion chrétienne qui ne jurait que d’étouffer l’héritage philosophique, scientifique et civilisationnel Noir/Africain/Égyptien) »

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Devoir de Mémoire : le mythe des esclaves Juifs bâtisseurs de pyramides en Égypte est une grosse falsification de l’histoire, (l’Égypte a exposé une série de tombes datant de plus de 4 000 ans et appartenant apparemment à des ouvriers embauchés pour la construction des pyramides de Gizeh, contrairement au mythe populaire selon lequel ces les monuments ont été construits par des esclaves); « Ces sépultures en briques de boue séchée, d’une profondeur d’environ 2,75 m, contenaient une douzaine de squelettes parfaitement conservés par le sable sec du désert, à coté desquels étaient disposés des récipients ayant contenu de la bière et du pain destinés à la vie des morts dans l’au-delà »

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Devoir de Mémoire : L’Africanisme est un paradigme volatile, sur le plan doctrinal, l’Africanisme est compris comme étant l’étude de tous les sujets concernant l’Afrique, & sur le plan littéraire, l’Africanisme serait dans une tournure d’expressions propres aux langues européennes parlées en Afrique Noire ou utilisé par les écrivains d’origine Noire/Africaine; « Les Africanistes sont donc ces chercheurs non Noirs/Africains, pour la plupart, spécialistes des langues, des civilisations et de l’histoire Noire/Africaine »

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Devoir de Mémoire : la copie ne dépasse jamais l’original, (le détenteur de l’original ne peut jamais craindre celui qui détient la copie, (ce n’est pas une belle promesse ni une flatterie de dire que l’Afrique est le berceau de l’humanité; certes, l’Afrique est le berceau de l’humanité en tout); « L’iconographie chrétienne est une copie conforme, tout a été copié dans l’Afrique/Égypte ancienne, (il en va de même pour la Bible, c’est une adaptation des écrits Noirs/Africains/Égyptiens) »

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Proto-christianisme et contexte historique : Malgré l’invasion des Grecs sur le sol Noir/Africain, TA Mery (Égypte) continue d’être le centre mondial du savoir avec sa prestigieuse bibliothèque d’Alexandrie, le pays rassemble la plus grande collection d’ouvrages sur tous les savoirs du monde antique à son apogée, la bibliothèque d’Alexandrie abritait plus d’un demi-million de rouleaux et de papyrus

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