KONGOLISOLO
Actualité

Chers frères et sœurs Noirs/Africains, pourquoi certains croyants Noirs/Africains de religions importées pensent-ils que les athées ou les non-croyants, ceux qui n’ont pas de religion, ont une violente aversion, une profonde répulsion à leur égard ? A vrai dire, ils ont tort car les apparences sont souvent trompeuses; « En ce sens, cette impression s’explique par le fait que les croyants de la religion importée des Blancs/Occidentaux sont dans la superstition, et d’une part donne le sentiment de rejeter les non-croyants et de les haïr, comme étant fondamentalement différents d’eux, car ils ne partagent pas les mêmes opinions, et d’un autre côté, ces fameux croyants, croient que les non-croyants nuisent à leurs convictions et à leur Dieu d’Israël »

Ce qui est absurde, c’est que la foi des croyants des religions importées est extrêmement fragile, prête à se déployer face aux obstacles. Leur foi est si précaire qu’ils ont en eux une conscience obsessionnelle et apocalyptique, qui les encourage à prendre avec beaucoup de méfiance et d’agressivité tous ceux qui pourraient leur faire perdre leur conviction et leurs certitudes envers leur Dieu d’Israël.

Ainsi dans tout dialogue entre un croyant et un non-croyant; En effet, le croyant adopte souvent une attitude hautaine, méprisante ou condescendante envers son interlocuteur. Le croyant veut affirmer, et démontrer, ses convictions et sa ferme assurance envers ces dieux importés. La nécessité de la répétition des services religieux et de la répétition des textes prouve parfaitement le risque que courent les croyants si leur foi n’est pas constamment entretenue.

Cependant, par des attitudes trop confiantes, le croyant ne fait que se protéger des influences extérieures qui pourraient à tout moment ébranler la structure de ses convictions fondées sur quelques éléments. Chez le croyant, le doute est permanent, les questions restent sans réponse, et les épreuves et difficultés de toutes sortes influencent impitoyablement sa vie. « En revanche, le dialogue avec un non-croyant qui n’a aucun doute ni superstition sur les lois de la nature et qui semble apporter plus de lumière, ce qui gêne beaucoup le croyant et le met souvent en mauvaise posture. Par conséquent, cela peut se traduire par un refus de la part du croyant de poursuivre la conversation de peur d’être ébranlé dans sa foi la plus profonde».

D’un autre côté, le non-croyant n’a pas souvent peur ou ne se plaint pas et n’a pas à craindre d’être ébranlé par ses convictions. Cependant, le croyant a souvent tendance à toujours vouloir convaincre le non-croyant, estimant que ce dernier n’est qu’un humain qui n’a pas été touché par la grâce de Dieu d’Israël ou d’autres subtilités qui échappent toujours à la raison. D’un autre côté, la grande vertu des incroyants est qu’ils ne sont ni limités ni naïfs.

La croyance d’un non-croyant ne repose pas simplement sur le bon sens, et la raison, mais elle repose sur une vision saine des réalités du monde, où rien ni personne n’impose, ne modifie la conviction d’un non-croyant, et aucun non-croyant, n’ose faire du prosélytisme pour tenter de convaincre les croyants de ses propres convictions.

By, KL

Certains croyants Noirs/Africains

Articles similaires

Laisser un Commentaire