Sirius et les dogons – un mystère planétaire.« Chez les Dogons, le Nommo laissa trois révélations par le verbe » :
- La première parole était un verbe humide.
- La seconde un verbe lumineux.
- La troisième, un langage à la fois parlé et musical.
Les Dogons assimilent donc la voix à l’eau, comme émission « D’une buée tiède porteuse de verbe, verbe elle-même. »
- Les grands-prêtres savent depuis fort longtemps que Sirius est accompagnée d’une autre étoile, baptisée par les astronomes Sirius B. Ce qui est extraordinaire, c’est que depuis plusieurs siècles, toute la cosmogonie des Dogons est commandée par Sirius B. Or, cette étoile n’a été découverte qu’en 1836 et identifiée comme une naine blanche qu’en 1915.
- Les dogons ont développé des points de vue qui ne sont pas, dans leur ensemble, démentis par la science contemporaine. C’est dire toute la rationalité de cette cosmogonie dogon qui contient encore d’autres faits plus éblouissants, encore relatifs à la connaissance des corps célestes. « (C. A Diop, volney et le sphinx de T. Obenga professeur de langue égyptienne et d’histoire ancienne Édition Présence Africaine p.171) »
Pour les dogons il y a pluralité des mondes, des univers stellaires à l’infini, bref une infinité de mondes. (C. A Diop, volney et le sphinx de T. Obenga Edit. Présence Africaine p.156)
- Il y a donc une prolifération de la vie sur la pluralité des mondes. Nous les hommes, nous sommes sur la 4e terre. Les formes exactes, les aspects concrets de la vie sur les autres mondes ne sont pas connus, et les dogon d’imaginer des « Hommes à cornes » sur la 3e terre, des « Hommes à queue » sur la 5ème, des « Hommes ailés » sur la 6e terre, des « Hommes rampants » sur la 7e terre, etc. (C.A Diop, Volney et le sphinx de T. Obenga Edit. Présence Africaine p.156).