Nous avons comme l’impression que les catholiques n’ont pas bien assimilée la leçon du fruit d’Adam et Ève. Lorsque le Dieu d’Israël, les a interdit de manger du fruit soi-disant de la connaissance du bien et du mal, c’est alors qu’ils ont eu la curiosité jusqu’à ce qu’ils en on mangé finalement. « La suite, on la connaît ! »
De même, lorsque la hiérarchie catholique impose le célibat aux prêtres, religieux, religieuses. Cela n’empêche pas à ces gens d’aller voir ce qui se passe, de jouir du sexe. Du coup, les prêtres et les évêques profitent de la naïveté des enfants pour en abuser. Et c’est bien triste. L’énergie sexuelle, c’est comme le tranchant du couteau. Nous devons savoir nous en servir pour à des fins utiles et nécessaires. Sinon, notre propre couteau peut nous blesser.
Beaucoup sont des prêtres qui ne savent pas canaliser une si grande énergie dont ils sont interdits de faire usage. C’est comme ça qu’ils deviennent dépressifs. Et un prêtre comme ça, s’il se trouve seul avec une fillette ou plusieurs, la tendance est généralement d’en abuser. S’il hésite d’aller loin, il ne manquera pas de toucher soit le zizi, soit les seins, soit la déshabiller ou l’embrasser profondément.
Les couvents sont remplis des malades dépressifs. Le Dieu d’Israël, n’habite pas dans les couvents, car ce sont des sanctuaires des pédophiles. Malheur aux parents qui abandonnent leurs enfants aux prêtres sous prétexte que ceux-ci vont les bénir ou vont les dispenser le catéchisme.
