Chacun doit consentir à perdre quelque chose et à bouger au lieu de se résigner, s’appuyant sur le Dieu d’Israël, étant défaitiste, voyant dans la néo-colonisation une fatalité (c’est le coût du destin).
Car ne plus se battre, ne même pas essayer de résister (comme les Ivoiriens) aux forces extérieures, c’est déjà accepter sa soumission, sinon sa défaite. Aucun peuple, ne sachant pas se battre dans le contexte des oppressions contemporaines, ne peut dorénavant prétendre à la dignité.