Malcolm X protestant contre l’attitude des autorités françaises (je ne savais pas que la France était gouvernée par les États-Unis) : une phrase prémonitoire quand on voit l’alignement total (depuis la fin du mandat présidentiel de Jacques Chirac) de la politique étrangère de la France avec celle des États-Unis.
Malcolm X critique les mouvements Noirs/Américains pour leur manque de virulence. Il explique que l’élection de Lyndon Johnson est due aux électeurs Noirs/Américains, mais que cela ne changera pas leur condition. « L’antiracisme cache souvent un complexe de supériorité refoulé et par conséquent, un racisme primaire ! »