La pire honte; il n’y a pas de pire honte que de voir un peuple copier ses oppresseurs, en tout pour tout, sauf rien : que dire de ces peuples qui garantissent être, inconsciemment ou consciemment, les héritiers des bévues de leurs colonisateurs ? Des peuples qui ont pour modèle leurs oppresseurs ?? Des peuples qui n’ont que leurs ennemis comme points de référence ??
Les Européens apprennent l’histoire de l’Europe et de leurs ancêtres. Les Asiatiques apprennent l’histoire de l’Asie et de leurs ancêtres, mais les Noirs/Africains apprennent l’histoire de l’Europe, de l’Asie, de l’Amérique et des ancêtres de chacun.
C’est à la croissance de l’aliénation culturelle, spirituelle, intellectuelle et mentale que l’on attribue l’existence de ces problèmes. C’est le cadeau empoisonné des Arabes, des Juifs et des Blancs (chrétiens) de l’esclavage et du colonialisme, du christianisme, du judaïsme et de l’islam. « C’est bien dommage pour ces peuples Noirs/Africains qui refusent d’être qualifiés d’animistes, mais qui copient toutes les aversions du monde ».
Les Noirs/Africains imitent les peuples (sauvages, nudistes, pédophiles, zoophiles, homosexuels), mais pourquoi imiter cette barbarie des Blancs/Occidentaux, peuples qui se piquent de leur sauvagerie et qui préfèrent plutôt taxer les autres peuples de sauvages, d’animistes, à l’envers ??
Pour quel intérêt les Noirs/Africains devraient-ils imiter ceux qui n’ont eux-mêmes ni la peur de perdre l’estime de soi, ni le sens de la logique, ni le respect des autres peuples, ni le respect des lois de la nature ?? À ce moment-là, vous, peuple Noir/Africain, devenez immédiatement la copie psychologique, intellectuelle, culturelle et spirituelle de ce même peuple qui vous a asservi pendant plusieurs siècles.
Quiconque se conforme à ces absurdités devient plus bête que les bêtes. Dès lors, il ne vit plus pour lui-même, ni pour son peuple, mais plutôt pour la suprématie de ce peuple sur le sien. Il ne fait plus les choses pour son propre intérêt, ni pour le développement de son peuple, mais plutôt pour son déclin et pour entretenir sa destruction, sa subordination.