KONGOLISOLO
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Contrairement à la connaissance, la croyance « Religieuse », signifie qu’on ne sait pas pourquoi on croit à telle ou telle chose, dont le principe ne repose actuellement que sur l’ignorance, est apparu à une époque où nos ancêtres étudiaient la mécanique ancienne de la création à travers l’oeuf primordial et son enneade (quatre paires de création) et non par l’existence d’un être suprême ou autre

Il a fallu à nos ancêtres des centaines de milliers d’observations pour étudier et comprendre la mécanique céleste de notre univers à travers l’interprétation de la puissance de l’Esprit (ou spirituel), dont les gardiens de cette connaissance appartenaient à des confréries très conservatrices et non à des sectes religieuses, également. Les temples dans lesquels ils pratiquaient tout cela, n’étaient que des universités dédiées à telle ou telle énergie créatrice élémentaire, dont les pyramides étaient des calendriers et des boussoles comme les cycles célestes à la fois terrestres, donc tout était science et donc n’avait rien à voir avec votre esprit -numéroter des croyances religieuses abrutissantes.

Voilà pourquoi les conceptions Africaines de la création qu’elles soient Dogon, Kamit, Amazulu, Niger-Kongo etc (…), déjà expliquées par des analogies simples et vérifiables, exactement ce que la science moderne dit aujourd’hui, avec des allégories d’abord racontées aux enfants en leur parlant, du son, de vague, d’onde, de parole, de verbe, de graine, de fleurs qui s’ouvrent (lotus), d’accouplement d’organes procréateurs, de naissance, de mort etc (…), pour que dès le plus jeune âge, les enfants comprennent naturellement le principe de base de la création de notre univers, en attendant le moment où ils passeront plus tard à un apprentissage réel et plus avancé.

Comme par exemple avec le concept de « Zp Tepi » (première fois) pour expliquer le souffle, la vague (Atoum) ou le Big bang pour les occidentaux, qui a donné un mouvement giratoire à notre univers nouvellement créé, d’où des eaux célestes, amniotiques cosmiques fluide ou une masse noire primordiale non formée (Nun et Nunet) suivra les forces cachées responsables de l’Ordre Chaotique créateur responsable de notre univers (Amon et Amonet), puis à travers la Lumière et les Ténèbres (Kuh et Kukhet), à travers le grand infini et son en face de l’infiniment petit (He et Het) dont l’ensemble forme l’Ankh.

Voilà de quoi nos ancêtres parlaient réellement à travers nos différentes cosmologies, qui n’avaient jamais raccourci, quand ils parlaient de la complexité de la création, mais passaient plutôt par ses nombreux attributs permettant une explication scientifique simple et efficace. En résumé, ils ont seulement expliqué avec leur propre conception et exprimé en leurs propres termes scientifiques comment le chaos ordonné dans notre univers tel que nous le connaissons s’est produit à travers un schéma connu aujourd’hui sous le nom de théorie des cordes ou théorie du chaos.

C’est ainsi que nos cosmologies ont toujours étudié le principe créatif autour des deux étoiles principales (Sirius, Amon-ra) de notre univers à travers l’ogdaede et son ennea avant que les personnes mentalement arriérées viennent résumer le tout avec un seul mot (dieu) qui qui en plus, est étymologiquement traduit par « Solar Light » dans tous les dialectes étrangers.

Contrairement à la connaissance

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