Devoir de mémoire : comment Willie Lynch a-t-il appris à ses congénères à diviser les Noirs/Africains et à les opposer les uns contre les autres ? Et c’est cette même technique que ses congénères continuent d’appliquer encore aujourd’hui contre les Noirs/Africains, (divisez vos esclaves selon leurs différences d’âge, de couleur de peau foncée ou claire, d’intelligence, de taille, de sexe, de type de cheveux fins ou crépus, lieu de résidence; Etc); « Prenez ces différences, agrandissez-les afin de les exagérer pour susciter (la peur, la méfiance, l’envie, la méfiance en eux, afin de les contrôler) »

L’esclave Noir/Africain, après avoir subi un lavage de cerveau, va se perpétuer et développer des sentiments qui influenceront son comportement pendant des centaines, voire des milliers d’années, sans que vous ayez besoin d’intervenir davantage. Alors, pour mettre fin à la méthode Willie Lynch, qui est à l’origine des souffrances des Noirs/Africains, il est impératif de s’unir. Seule une union forte entre Noirs/Africains dans le monde pourra ébranler le système de Willie Lynch.

Si les gouvernements Blancs/Occidentaux/Racistes ont tenté de réorganiser la réalité et l’histoire en fonction de besoins (politiques, économiques et psychologiques), comme le faisaient les prophètes ou les pharaons Blancs/Occidentaux, c’est parce qu’ils savaient que l’esclavage avait deux composantes (dont l’une était physique et l’autre mental), mais aussi que l’esclavage physique a toujours soutenu l’esclavage mental, donc pour ce faire cela a été réalisé en calculant plusieurs choses qui étaient :

• Détruire la mémoire des gens qui ont dû être réduits en esclavage, sinon ce commerce n’aurait jamais pu tenir;
• Détruire autant que possible le sentiment d’identité individuelle et collective, sinon un esclavage physique à long terme aurait été trop difficile à réaliser;
• Détruire la capacité des gens à pratiquer leurs formes culturelles parce que les formes culturelles pratiquées ensemble sont une autre façon de produire une identité forte qui, en fin de compte, produit elle-même une résistance mentale;
• Contrôler les processus de socialisation, les processus d’éducation, contrôler les médias, contrôler la religion, contrôler l’éducation, afin que tout ce qui entre dans le cerveau soit déterminé par des gouvernements racistes ;
• Contrôler les ressources minérales, les ressources monétaires et les ressources fiscales, car avec ces ressources il est possible de corriger rapidement toutes ces déficiences et un dernier facteur qui est la ségrégation dans tous les domaines.

Ce sont donc ces règles spécifiques qui sont typiques de tout système d’oppression et vous remarquerez que les trois premières règles évoquées sont essentiellement psychologiques et que l’activité de mémoire, l’identité forte et les pratiques culturelles sont étroitement liées au processus de réorganisation psychologique de l’individu ou du groupe.