L’urine d’une femme enceinte était connue depuis toujours en Afrique précoloniale pour sa capacité à accélérer la croissance de certaines plantes, ce qui fait que nos ancêtres savaient déjà depuis très longtemps que si l’orge germait, cela confirmait qu’elle était bien enceinte, mais aussi qu’elle donnerait naissance à un enfant de sexe féminin, et que si c’était le blé qui germait, cela signifiait alors qu’elle donnerait naissance à un enfant de sexe masculin.
Ce même test de grossesse urinaire n’aurait été découvert par la science moderne qu’en 1926, alors que, par coïncidence, elle avait également développé la détermination du sexe d’un fœtus par le blé et l’orge dès 1933.