La police est en pleine opération. Elle fait face à un homme Blanc extrêmement furieux, couteau en mains, prêt à commettre l’irréparable. L’homme menace et attaque la personne qui se trouve à bord d’une voiture. Il commence à briser même les glaces, il veut atteindre sa cible. Et les policiers, bien qu’ils pointent l’homme ultra menaçant de leurs pistolets, ne font que crier et tournoyer autour de lui. Par contre, l’homme en question, tout seul, est sans froid, avec son couteau en mains qu’il veut, coûte que coûte, utiliser pour commettre son forfait, défie plusieurs policiers.
Curieusement, c’est la personne menacée à bord de sa voiture qui, après plusieurs manœuvres, arrive à la percuter, par deux fois, de derrière. Il est affaibli et dissuadé. Et, finalement, les policiers sautent dessus. L’un des policiers fait semblant de lui administrer des coups à la tête. L’homme menaçant, avec couteau, est mis hors d’état de nuire. (…).
En vérité, en vérité, si cet homme était un Noir/Africain, menaçant avec le couteau en mains, pensez-vous qu’il allait rester en vie pour même deux secondes ? Hélas, Non ! La police Blanche, n’hésite pas d’ôter la vie à un noir inoffensif, à fortiori s’il est menaçant. (…). C’est le comble d’une police en mode « Deux poids, deux mesures », clémente pour les Blancs et ultra sévère pour les Noirs/Africains.
