En regardant les plantes et les animaux, chacun verra par lui-même que c’est la contrepartie féminine (de la femme Noire/Africaine) qui est toujours supérieure et qui représente et incarne le pouvoir. On peut l’observer chez (les abeilles, les termitières, les araignées, les fourmis, les félins, les éléphants, les bonobos; Etc). La liste n’est pas exhaustive lorsque le mâle est, en règle générale, utilisé pour aider à la reproduction, à la recherche de nourriture ou à la protection. Et c’est un code de la nature que les humains sont priés de suivre s’ils ont l’intention de vivre harmonieusement.
Il y a un nouveau jour de manifestation à chaque fois qu’une déesse Noire/Africaine, sur terre donne naissance à un enfant sauveur. Raison pour laquelle elle avait été, à juste titre, considérée par les ancêtres Noirs/Africains comme la manifestation de la matrice originelle divine dans un contexte tant matériel que spirituel. Et ce fait n’avait rien à voir avec la croyance ou simplement par respect pour la femme Noire/Africaine, mais plutôt avec la science suivant la loi analogique, qui est la clé par excellence qui nous permet de percer les mystères de l’univers.
Ce n’est pas pour rien que les femmes sont capables de transmettre l’ADN mitochondrial de mère en fille, pas de mère à fils, ni de père à fils et encore moins de père à fille. En tant que peuple, les Noirs/Africains, ne retrouveront jamais le chemin que leurs ancêtres, partant de l’ordre naturel des choses, leur avaient tracé avec sagesse jusqu’à ce que la femme Noire/Africaine soit remise à sa place qu’elle mérite, celle d’une matriarche comme il n’y a pas si longtemps.
La femme Noire/Africaine manifeste la force vitale de la planète terre. Tant qu’avoir un utérus lui donne une imagination profonde et des pouvoirs au-delà de ce qu’un homme moyen pourrait supporter en termes de flux de vitalité. Ce sont cette imagination et ces pouvoirs qui lui permettent de concevoir et de façonner ce qu’elle porte en elle et qui la rapprochent de la divinité.
