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Devoir de Mémoire – Thomas Sankara et l’identité du Faso : Lorsqu’on a dit que le citoyen du Burkina Faso s’appelle Burkinabè, mais Léopold Sédar Senghor le Sénégalais avait réagi en écrivant au président du Faso pour lui dire qu’il n’était pas d’accord car la langue française avait été mutilée (il proposait Burkinais et Burkinaise, respectivement pour homme et femme ou masculin et féminin); « Nous avons répondu que nous ne recevons pas d’ordres de Paris, et que nous ne sommes pas Français, a soutenu Thomas Sankara, nous ne cherchons pas, a-t-il poursuivi, à parler la langue de Molière mieux que Molière lui-même »

Nous avons décidé que c’est un mot invariable, le citoyen de notre pays s’appelle Burkinabè (femme, homme, enfant), ça revient au même sauf que c’est ça (c’est l’identité Faso). « Basile Guissou, ministre des Affaires étrangères de Thomas Sankara, sur le changement du nom du pays de Haute-Volta en Burkina Faso ».

Les cinq catégories de personnes extrêmement difficiles à conseiller (1 – une femme amoureuse. 2 – un Illettré surpris par la richesse. 3 – un militant de l’UDPS. 4 – un Kinois qui veut aller en France. 5 – les fidèles des églises de réveil), et n’oubliez jamais ceci :

  • Rien qu’une parole de colère ne peut blesser un cœur sensible;
  • Rien qu’une parole de reproche ne peut faire couler des larmes;
  • Rien qu’une parole impatiente et irréfléchie ne peut assombrir une journée qui devait être lumineuse;
  • Rien qu’une parole de gentillesse ne peut soulager un cœur qui souffrait;
  • Rien qu’une parole de sympathie ne peut consoler une âme en détresse;
  • Rien qu’une parole d’espoir et de foi ne peut éclairer un chemin.

Sankara

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