Sur internet, il suffit de taper (Antibiotiques naturels) et aussitôt on arrive à une série de résultats dont le plus courant est : (le Graviola fait des merveilles, c’est une plante qui pourrait nous sauver du cancer). Le Graviola est ce petit arbre typique des régions tropicales chaudes caractérisé par de grandes feuilles vertes et des fruits comestibles, qu’on appelle corossol ou coeur de boeuf (jaune-vert), vendu sur les marchés d’Amérique du Sud et d’Afrique sous le nom de Guanabana et utilisé dans la préparation de certaines boissons.
Les résultats ont permis d’identifier les principes actifs spécifiques appelés (acétogénines des Annonacées), protagonistes des propriétés biologiques de cette plante. Les résultats encourageants observés en peu de temps ont conduit à une expérimentation en plein essor qui compte aujourd’hui plus de 600 études avec d’excellents résultats et qui, malheureusement, n’ont pas été accompagnées d’une utilisation aussi valable dans un cadre cliniquement réalisable. Le fruit ressemble à un vert (fragolone) et sa saveur est agréable. C’est un fruit naturel et sans effets secondaires. Cette plante a de nombreux bienfaits anticancéreux. C’est aussi un agent antimicrobien, contre les infections, les infections bactériennes et fongiques, abaisse la tension artérielle, il est utilisé pour la dépression, le stress et les troubles de la nervosité.
Depuis 1976, Graviola s’est avéré être un tueur de cancer extrêmement puissant dans 20 tests de laboratoire indépendants. Une étude publiée dans le Journal of Natural Products, suite à une enquête similaire menée par l’Université catholique de Corée du Sud, a déclaré que Graviola peut tuer sélectivement les cellules cancéreuses du côlon avec une capacité de plus de 10 000 médicaments de chimiothérapie couramment utilisés comme l’Adriamycine. Le rapport de l’Université catholique de Corée du Sud indique que la graviola peut cibler sélectivement les cellules cancéreuses, laissant les cellules saines intactes, contrairement à la chimiothérapie, qui cible sans discrimination toutes les cellules se reproduisant activement et provoque des effets secondaires souvent dévastateurs, nausées et perte de cheveux chez les patients cancéreux. Une étude menée à l’Université Purdue de Lafayette (États-Unis) a récemment révélé que les feuilles de l’arbre Graviola tuent les cellules cancéreuses de six lignées cellulaires humaines et sont particulièrement efficaces contre les cancers de la prostate, du pancréas et du poumon.
Le corossol (son nom en anglais), connu en Italie sous le nom de fruit du Graviola est donc un remède miracle (et naturel) pour éradiquer les cellules cancéreuses, 10 000 fois plus puissant que la chimiothérapie. Les tests de laboratoire effectués depuis 1970 ont montré son efficacité et tuent les cellules malignes dans 12 types de cancer, y compris le côlon, le sein, la prostate, le poumon et le pancréas, et est jusqu’à 10 000 fois plus fort en ralentissant la croissance des cellules cancéreuses par rapport à (Adriamycin) , un médicament chimiothérapeutique couramment utilisé dans le traitement du cancer. Contrairement à la chimiothérapie, le composé extrait de (l’arbre Graviola), ne tue que les cellules cancéreuses sans nuire aux cellules saines. Une grande société pharmaceutique américaine a ensuite investi près de sept ans pour essayer de synthétiser deux des ingrédients anticancéreux du Graviola. Mais il n’était en aucun cas possible de synthétiser les ingrédients actifs de Graviola contre le cancer. L’original n’a tout simplement pas pu être reproduit. Il n’y avait aucun moyen pour la société pharmaceutique en question de protéger ses propres intérêts et de récupérer l’argent investi dans la recherche. Cette société pharmaceutique a abandonné le projet et a alors décidé de ne pas publier les résultats de ses recherches.
L’Institut national du cancer a effectué la première recherche scientifique en 1976. Les résultats ont montré que les feuilles et les tiges de Graviola étaient efficaces pour attaquer et détruire les cellules malignes. Inexplicablement, les résultats ont été publiés dans un rapport interne, mais jamais rendus publics. « Le malheur des uns faisant le bonheur des autres, c’est ainsi que le miracle du Graviola et de ses fruits ne se divulgue pas pour que les industries pharmaceutiques continuent à générer des revenus de la chimiothérapie contre le cancer ».
