KONGOLISOLO
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Devoir de mémoire: lorsque les Grecs plagièrent l’art africain bien plus tard (comparaison de Ramsès II datant de -1150 et d’une statue de Kouros -500), cette date correspond au début de l’apprentissage des sciences par les Grecs sur la terre/sol (Noir/Africain/Égyptien); « Le Kouros est un jeune homme nu représenté debout, les bras le long du corps, la jambe gauche légèrement avancée – cette attitude montre l’influence des modèles Noirs/Africains/Égyptiens; on voit aussi cette influence dans les yeux en amande et le léger sourire »

Selon l’archéologue John Boardman : C’est lors d’un séjour en Afrique (Égypte) que les Grecs ont vu pour la première fois des constructions colossales en pierre de taille, avec des colonnes sculptées et décorées à leurs extrémités. Chez eux, les Grecs utilisaient la brique brute, le bois et réalisaient des constructions pittoresques en maçonnerie (…).

Vers la fin du VIIIe siècle, les architectes grecs tentaient de s’adapter au style Noir/Africain/Égyptien, non pas en l’imitant en détail, mais en l’adaptant à leurs formes architecturales locales. Ainsi est née en Grèce la colonne dorique qui a l’origine directe et immédiate de la colonne Noire/Africaine/Égyptienne.

Les fables représentant des animaux sont l’apanage des peuples d’Afrique Noire (contes de griots), des Koushites comme le confirme Lenormant. C’est l’Égyptien Noir Ésope qui a introduit les fables aux Grecs. Dans Little Talk with a Mummy, l’auteur Edgar Allan Poe décrit les vastes connaissances techniques et scientifiques de l’Afrique ancienne (Égypte).

Dans le domaine des mathématiques et de l’astronomie, les anciens Noirs/Africains/Égyptiens avaient une avance qui est encore inégalée aujourd’hui; la valeur exacte du nombre Pi ( ), le diamètre polaire de la Terre, la distance exacte entre la Terre et le soleil, ainsi que de nombreux autres éléments étaient déjà connus. Vers -2550 les Noirs/Africains/Égyptiens maîtrisaient les bases fondamentales (géométrie, trigonométrie et astronomie) pour la construction des pyramides. Tous ces repères leur ont permis de se situer dans le temps et dans l’espace.

Ce n’est qu’entre -650 et -540 que l’on entend parler pour la première fois de géométrie en Grèce, grâce aux connaissances de Thalès, ancien élève de prêtres Noirs/Africains/Égyptiens. Après avoir étudié en Afrique/Égypte, il revient avec un savoir appliqué depuis -2300 par les Noirs/Africains/Égyptiens, l’eau à l’origine de tout (nom primordial de l’océan), et l’importance de l’âme (métaphysique du Ka et du Bâ).

C’est avec Neiloksenos, un mathématicien Noir/Africain/Égyptien, qu’il apprit à mesurer la hauteur d’une pyramide par rapport à son ombre. Et c’est finalement auprès d’astronomes Noirs/Africains/Égyptiens qu’il apprendra à calculer l’arrivée d’une éclipse solaire.

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