Après la prison, il sera réhabilité et nommé premier commissaire d’Etat le 27 août 1980, mais coup de chapeau. Alors qu’il se trouvait à l’étranger, il a profité de ce séjour pour démissionner le rugissement de ses fonctions de coordinateur de ce qui s’appelait encore conseil exécutif à l’époque. « C’était le 17 avril 1981. »
Près d’un mois plus tard, il accorda une interview à l’agence Belga. Ces propos avaient été résumés par le quotidien bruxellois ; le soir dans sa livraison du 15 mai 1981.
Les élections présidentielles étaient en vue et Nguz pensait être candidat dans ce pays où la présidence de la République revenait de droit au président du MPR. « C’est aussi pendant son exil, qu’il écrira un livre au titre évocateur : Mobutu ou l’incarnation du mal Zaïrois. »