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La raison de la mémoire collective historique en Afrique subsaharienne : parmi les caractéristiques communes des peuples d’Afrique, figure la mémoire collective; de l’Est à l’Ouest, du Nord au Sud, en passant par le centre, il existe des similitudes notables, plus exprimées par la mémoire collective des peuples Noirs/Africains « Depuis des temps immémoriaux, les peuples Noirs/Africains ont toujours eu l’habitude de beaucoup voyager, de se côtoyer les uns aux autres; il y avait une collaboration étroite entre les royaumes, les empires, les villages, les clans (…); cela a abouti à la consolidation de la coopération, au (Libre échange) des marchandises, ainsi qu’à la circulation des connaissances sur tout le continent et ailleurs »

En outre, cette coopération entre les peuples a eu pour résultat : « Le dialogue des cultures ». Raison pour laquelle on peut voir que la mémoire historique collective en Afrique est rarement limitée à une seule région ou à un seul territoire, au contraire elle a toujours été liée à des lignées familiales ou à des groupes ayant migré à travers tout le continent.

Par exemple, il existe des liens parentaux ou fraternels que partagent les Dogons du Mali (Afrique de l’Ouest) et les Amazoulous ou Zoulous d’Afrique du Sud (Afrique australe). La distance entre les deux peuples est d’environ 6 078 kilomètres en vol d’oiseau. Les deux peuples sont assez proches culturellement.

La raison de la mémoire collective

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