KONGOLISOLO
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Réflexions métaphysiques sur la nature de l’homme : l’homme est plus que l’homme, c’est un tout, c’est un véritable labyrinthe « Nous sommes entrés dans le grand labyrinthe le premier jour où notre âme s’est incarnée pour la première fois dans un corps humain; nous naissons et nous mourrons dans ce labyrinthe qui symbolise la vie, des milliers de fois avant de trouver la sortie non pas sur la mort, mais sur la vie éternelle après avoir accompli toutes les expériences sur terre »

La longue marche vers la liberté sur le chemin, lequel nous ne sommes plus seuls, entourés de plusieurs milliards d’âmes qui ne cherchent rien d’autre que le confort, l’argent, qui procure tous les plaisirs de la chair. On dit que pour ne pas s’égarer dans le grand labyrinthe, qu’il faut toujours emprunter la voie de droite car la voie de gauche nous ramène à la case départ. Ce qui est vrai, car la droite représente le bien et la gauche représente le mal. Sur une route, ceux qui viennent devant vous, vont dans la direction d’où vous venez (une métaphore importante).

Lao Tseu dans son ouvrage le « Tao to King », prône la voie du milieu, qui est celle de la neutralité ou de la tiédeur. Or, le Christ nous dit « Soyez chaud ou froid, jamais tiède ».

Nous vivons, mourons et nous réincarnons dans le grand labyrinthe jusqu’à ce que nous trouvions la sortie, ce qui va prendre des centaines sinon des milliers d’incarnations dans la chair jusqu’à la fin du temps qui nous a été attribué avant d’être détruit par le « Minotaure », qui représente le temps et la mort. Là, après avoir vécu nos vies comme une spirale, nous aurons parcouru tout le tour de la « Roue des renaissances ». Le grand labyrinthe représente donc le cycle total et fatal dans lequel nous devons trouver notre chemin pour accéder à la vie éternelle en s’initiant pour que notre âme soit fécondée par l’esprit afin de devenir un fils de la lumière. 

Voilà pourquoi la bible nous dit que ceux qui ne seront pas inscrits dans le livre de vie mourront. Il ne s’agit pas de religion mais d’initiations, et les sages initiés qui voulaient partager ce savoir avec l’humanité comme le faisaient les cathares, furent brûlés vifs au château de Montségur en 1254 ou plutôt. de grève à Paris par l’Inquisition catholique !

Les mythes sont des phares, des métaphores pour perpétuer le grand « Arcane », afin que l’initié trouve son chemin vers l’éternité. Il n’y a pas d’autres voies pour accéder à la grande « Déesse ».

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