Cette citation qui déclenche la prise de conscience chez beaucoup de noirs, par cet appel adressé aux générations noirs, amène uniquement à la simple révolte, a la reforme et plus largement a un effet de mode pour changer son apparence occidentale.
Le modèle à suivre, par cette citation, laisse comprendre qu’il n’est pas nécessaire de tout savoir sur son histoire, sur sa situation et sur les bases traditionnelles qui fait de lui, un noir authentique et non un noir occidentalisé ou autrement qu’africain.
L’opacité, dont il fait mention, ne permet pas de faire émerger la véritable nature de l’homme africain et de la femme africaine. C’est pour cela, que le blanc et le Sémite, maître du noir, a bien vu la naïveté du noir vis a vis de lui dans cette déclaration destinés aux générations noires, actuelle comme futur, et donc n’hésite pas à promotionner ce chemin au noir, où il ne peut que se perdre et garder le lien qu’il a avec lui.
L’opacité entraîne, et nous pouvons le constater souvent, ces démarches des noirs :
- Victimisation perverse noir amenant au besoin de reconnaissance et maintient dans l’idéologie blanche.
- Arrogance vis a vis de l’histoire des noirs et maintient dans ses conditions de « colonisé-esclave».
- Remise en cause de la tradition noir, perversion de cette dernière en la nivelant aux traditions des conquérants et dénis du sens des réalités et des valeurs africaines.
- Les actions récentes, faites par des ainés aliénés pro-occidentale ou sémitique ou asiatique, sont beaucoup plus valorisé que les actes politique guerrier ancestral contre la colocalisation de qui que se soit d’étranger a l’Afrique.
- Demande d’intégration car restant dans l’identité coloniale et son statut.
- Crainte, dévalorisation de la tradition africaine et surinvestissement de la tradition des agresseurs.
- Mimétisme guerrier sémitique et autres.
- Peur du demain sans le blanc et d’un avenir qu’avec des noirs en Afrique.
- Trèves pendant la guerre oubliant l’humiliation qui suivra pour ceux qui veulent garder le système établi.
- Perte de lucidité, de camps, de virilité, et de bravoure.
- Métissage redéfini comme égalitaire entre deux cultures strictement différente et totalement en opposition, qui devrait simplement s’accepter, oubliant que le métissage fut imposé et qu’il le reste insidieusement ancré de l’esprit de beaucoup.
- C’est juste que le noir a changer de camp, et se bat contre lui-même, aujourd’hui.
- Confiance dans son aliénation, avec beaucoup de mise en garde et beaucoup d’émotion et d’envie d’être comme l’autre non-africain, guidant le noir.
- Perte de vue du combat de la decolonialisation remplacer pour une lutte sociale (syndicalisme, groupe politique et association) et économique (mouvement, populaire communiste ou capitaliste sur des considérations de consommateurs).
- Alors qu’il n’y a, pour le noir, que des illusions de classe sociale et de travaille, depuis les razia négrière et qu’il n’y a aucune classe économique chez les « colonisé-esclave », mais qu’un unique groupe soumit a la loi coloniale, a celui du code noir établi depuis, et des stragèmes de manipulations.
- Croyance d’une évolution du sort des noirs depuis les razzias jusqu’à aujourd’hui.
- Croyance d’une Afrique qui vend ses enfants pour les Amérique.
- Maintiens des rivalités coloniales noirs montrant que les noirs ne peuvent se comprendre entre eux peut importe où ils sont nés.
- Intellectualisation occidentale de la pensée africaine pour résoudre nos problèmes oubliant que les idéologies occidentales sont pervertes.
- Narcissisme de noirs devenues naturel que d’apparence, pour une nouvelle économie cosmétique et vestimentaire bientôt entre les mains des blancs, contre ceux qui sont narcissiques en étant d’apparence blanche alors que les deux donnent des noirs, si toutefois les deux ne se décident à, par soit disante déception et morale opaque universaliste et de droit de l’hommiste (blanc), de se métisser.
- Et oui, l’opacité n’interdit pas le métissage des moins opaques (des plus naturel).
- Faire n’importe quoi pour le noir, en prenant l’exemple des autres, pour ne pas avoir à être pointé du doigt de n’avoir rien fait et par soucis spirituel leucosemite.
Donc Fanon, ne désaliène personne. Il insuffle un goût de, révolte, mais cette dernière reste dans la perversion noir sagement institué par le blanc depuis longtemps, qui peut en jouer, en maître manipulateur , pour maintenir le système occidental tel qu’il est établît.
Il est nécessaire de connaître notre passé, de comprendre entièrement notre situation, pour ne pas être capturé dans la perversion noire moderne créée par l’occident, dont les valeurs ne sont pas celles de l’Afrique, qui déroute la résolution de nos problèmes en les prenant à la légère.
Tant que le noir continuera ainsi, il se mordra sa queue avec tout son amour pour l’occident, croyant l’émouvoir, dont on sait la réciprocité des sentiments et son amour tant déclaré dans l’œuvre de la destruction de nos empires africains, pour faire de nous des esclaves remplit de cette identité/esprit et vidé de l’identité/esprit de l’Afrique impériale.
