En fait, l’Afrique Noire est un champ fertile où les clichés et stéréotypes de toutes sortes (qui sont des facteurs d’aliénation) y poussent, grandissent et produisent leurs fruits en abondance. De tous les facteurs d’aliénation des Noirs/Africains, les religions abrahamiques (judéo-chrétienne et musulmane) sont les plus puissants. En adoptant ces religions, les Noirs/Africains ne cessent de rendre leur propre évolution en péril.
En priant les Dieux des Blancs, les Noirs/Africains repoussent leurs propres Dieux. Les égrégores des Noirs/Africains n’ont plus de travail, car les Noirs/Africains essaient de se laisser guidés, bien qu’en vain, par ceux des blancs.
Il est navrant que les Noirs/Africains continuent à perdre le temps en s’adonnant aux cérémonies religieuses des Blancs. Les Noirs/Africains n’ont cessé de tomber sous le charme des enjolivures que les Blancs ont entourées des choses de Dieu. Ces mystères non révélés maintiennent le Peuple Noir/Africain dans une léthargie, c’est un véritable sommeil millénaire dans lequel les Noirs/Africains sont plongés.
En définitive, la moisson est grandes, mais il y a peu de moissonneurs. Ceux qui se soucient du réveil des Noirs/Africains ont un travail de titan à faire, ils ont toute une mer à boire (…).