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Le secret de la puissance de chaque Nation : ce n’est pas pour rien que les Grands Guides Invisibles de l’humanité ont divisé les êtres humains en (races, peuples, nations, régions, continents); chaque subdivision, (peuple, race, région; Etc) est soumise à l’autorité d’un Égrégore qui assure ainsi sa protection et sa pérennité, à condition qu’elle se conforme aux exigences ou marche selon les directives d’Égrégore « Dans la culture Noire/ Africaine, on enseigne (amour, respect de la nature et des autres espèces, pardon, humilité, courage, moralité, respect des anciens, solidarité; Etc), on apprend à rendre hommage aux divinités avec des rituels spécifiques et selon les circonstances ou les besoins »

On voit que dans le judaïsme, la classe des Lévites sacrifie des animaux, ils font des holocaustes en l’honneur de Jéhovah : cela ne pose aucun problème, mais quand les Noirs/Africains sacrifient des animaux pour leurs divinités, cela devient de la sorcellerie ou de la magie Noire. Pourtant ce sont les mêmes pratiques, et d’ailleurs reprises en Afrique depuis très longtemps. Faut-il encore préciser qu’en Afrique il n’est donné à personne de pratiquer des rites ou de participer à des rituels. Il y a des spécialistes dans chaque tribu ou clan pour cela.

Alors, qu’en est-il de l’apport des religions importées en Afrique ? D’abord, il faut noter qu’en matière de pratiques religieuses, d’autres ont copié ce qui se passe en Afrique. Ils ont juste modifié certains aspects des rites, rituels et pratiques, mais curieusement, ils considèrent que ce qu’ils pratiquent est bien, alors que ce qui se fait ou se pratique en Afrique est mal. Ils ont atteint leur objectif de créer une diversion pour bien dominer les Noirs/Africains, mais tout le monde n’est pas idiot en Afrique de suivre aveuglément. Nombreux sont les Noirs/Africains qui ne connaissent plus leur (spiritualité, coutumes, cultures, rites, rituels et la plus essentielle de leurs langues Noires/Africaines sont de façade, reléguées au second plan); mais ils préfèrent se plier à ce que font les autres. Ils n’ont ni choix ni prérogative, encore moins de latitude pour se démarquer.

Pour que la communauté Noire/Africaine soit libre, pour poursuivre et renforcer sa tradition de recherche de la vérité, il y a des conditions préalables. Car la libération de la communauté dépend de sa capacité à discerner les véritables sources et causes de ses épreuves et tribulations de l’intérieur comme de l’extérieur. Elle dépend également de sa capacité à résoudre ses problèmes sur la base de connaissances solides, d’évaluations objectives de sa situation et de sa capacité intuitive et bien développée à prendre des mesures conscientes, rationnelles et constructives. Espérons que nous y arriverons. « Le secret du pouvoir de chaque nation réside en ceci : (Dans sa spiritualité originelle). C’est pourquoi l’effort principal des puissances coloniales a été de rompre le lien des peuples colonisés avec leurs traditions afin de faciliter leur soumission ».

La doctrine coloniale est restée longtemps ancrée dans la mémoire collective de nombreux Noirs/Africains. L’évangélisation obligeait les parents à donner à leurs enfants des prénoms de soi-disant Saints; et donc d’effacer leurs prénoms d’origine. Pratiquement, il y a toujours plus de « Théodores » en Afrique qu’en France, mais il n’y a pas de Dembele, Mutombo, Mumbere, Sabimana en France ou en Angleterre, encore moins en Arabie Saoudite.

Le secret

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