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Le sophisme du mythe d’un Jésus Noir : l’histoire d’un Jésus Noir est aussi fausse que celle de ce personnage, qui n’est pas différent de son homologue judéo-chrétien; cette histoire, adaptée et calquée sur le bric-à-brac, est basée sur la cosmologie de la science et de l’histoire Noire/Africaine

Alors d’où vient l’idée et l’hypothèse que certains Noirs/Africains revendiquent la propriété du christianisme sur le modèle européen ? Utiliser l’iconographie Noire de Jésus et de la Vierge Marie collectée dans le monde entier est tout aussi ridicule que burlesque. L’histoire de la Vierge Noire et de son enfant est basée uniquement sur les traditions, les allégories astronomiques et les mythes solaires de plusieurs peuples Noirs d’Afrique dont l’histoire, d’une Vierge et de Jésus de Nazareth, a été adaptée.

Tout d’abord, la prétendue résurrection du fils d’un charpentier est une fiction qui a été plagiée et volée dans le récit de résurrection documenté du conte mythologique de  « Wosiré », raison pour laquelle il y a tant d’images et de peintures d’une famille noire, en la personne de Meri (Marie) portant son fils (prodigue), « Lusa » (Jésus), ainsi que tant de prophètes Noirs en particulier dans le premier copte éthiopien église.

A noter également que le mot grec « Arche-Techton », ne signifie pas « Charpentier, mais constructeur ». En effet, dans l’Egypte ancienne, les aspirants à la vie supérieure apprenaient à construire à la fois le temple intérieur (qui n’est pas fait de main d’homme) et le temple extérieur (temple d’initiation aux mystères de la vie). Soit dit en passant, la tromperie religieuse et l’escroquerie sont dues au fait qu’après des siècles de tabassage et de manipulation du christianisme dans la mentalité de l’homme Noir/Africain, par la force physique et mentale, son attitude a fini par l’accepter et l’incorporer comme légitime et vrai, mais la vérité, comme une rivière souterraine, continue de couler à travers l’archétype de l’homme Noir encore aujourd’hui.

Afin de mieux comprendre ce phénomène, nous devons toujours garder à l’esprit que la perception du Divin des peuples de certaines parties de l’Afrique a été simplement appelée « Dieu » par les Eurasiens. Ils ont faussement traduit ce concept spirituel alors qu’il n’était pas simplement lié à « Neter (Neteru) », à travers ses attributs et les principes fondamentaux de Mère Nature.

Les élites étrangères, en traduisant les premiers enregistrements Noirs/Africains, ont malicieusement déformé la vérité à tel point qu’elle est devenue invraisemblable. Ils forçaient systématiquement et mentalement les Noirs/Africains, qu’ils avaient vaincus, à accepter leur christianisme ; et que seulement, de là, son intériorisation viendrait tout naturellement. Et ce n’est qu’après que la pratique comportementale suivrait automatiquement. C’est la raison pour laquelle les missionnaires, les avocats, les aventuriers et les meurtriers recrutés qui ont été envoyés dans le sud, en Éthiopie, en Afrique de l’Ouest, mais aussi partout où il y avait des personnes d’ascendance Noire/Africaine, avaient tous une responsabilité particulière de veiller à ce que le christianisme soit pratiqué par la progéniture Noire/Africaine, même s’il fallait tuer leurs parents qui préféraient « Mourir comme des lions plutôt que vivre comme des moutons ».

La fraude religieuse ne prévaudra pas sur la vérité ancestrale Noire/Africaine, encore enfouie dans les gènes des dignes filles et fils d’Afrique. Le mensonge de la Vierge Marie enceinte d’un Dieu d’Israël est contraire à l’ordre naturel des choses. Pour Joseph (le soi-disant père nourricier de Jésus), Marie et Jésus de Nazareth font partie de l’évolution normale de notre humanité. Avec leur vision du monde pour dominer les autres, les Eurasiens ont façonné les identités de ces personnages d’après celles des divinités africaines ancestrales connues sous le nom de « Wst-Meri, Horo et Wosir ».

Dès que nous avons pu transformer systématiquement et mentalement ces Jésus, Marie et Joseph, les brèches se sont ouvertes pour certains Noirs/Africains qui avaient mordu à l’hameçon du mensonge afin de les rattacher à l’identité pigmentaire Noire/Africaine des principes ancestraux anciens. Cependant, il fallait instinctivement résister aux principes fictifs présentés par les esclavagistes blancs chrétiens, coupables du tort flagrant qu’ils causaient dans la perspective de l’ancienne civilisation Noire/Africaine.

Mais malheureusement, les Noirs/Africains, rendus arriérés, ont commencé à reformuler des images, des sculptures, des peintures de « Mélanodermes christianisés », comme une sorte de rappel de ce qu’ils étaient spirituellement avant l’arrivée des envahisseurs. Ce qui est faux et archivistique, car il est basé uniquement sur des hypothèses et des hypothèses scientifiques et historiques.

Le sophisme

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