Tout cela serait dû à un effet vasodilatateur qui permettrait aux cellules inflammatoires de pénétrer dans le système nerveux. Pendant 2 mois, l’équipe du Dr Ikuo Tsunoda a nourri des souris atteintes de sclérose en plaques avec du resvératrol. Après 12 jours, les souris ont développé une paralysie de la queue et des membres postérieurs.
Les symptômes ont atteint leur niveau maximal de gravité après 3 semaines. Au bout de 5 semaines, les souris ont réussi à récupérer mais au-delà aucune rémission ne serait possible. Pour le moment aucun test n’a été réalisé sur l’homme, mais les scientifiques recommandent la prudence.