Or, dans la tradition Négro-Africaine, on dit que si un adulte se met à courir de toutes ses forces, c’est soit parce qu’il poursuit, soit parce qu’il est poursuivi. On sait qu’au nom de son instinct de survie, un être humain normal ne court pas vers la mort. Il l’évite autant que possible. « Pouvons-nous imaginer que ces personnes (Blancs/Occidentaux) fuient une situation pire que celle que nous voyons dans leurs terres d’origine ? »
Tout ce qui nous reste, c’est la traînée des promesses de massacre. Malheureusement, les dirigeants Noirs/Africains en sont encore au stade de la politique (de la maladie). Ils n’examinent pas les autres risques, mais se concentrent politiquement sur celui-ci, un peu moins violent ici qu’en Europe. Les Blancs/Occidentaux aiment le Kongo, mais ils n’aiment pas les Kongolais.