Nous ne craignons personne ni la mort, mais nous craignons l’aliénation et l’aversion pour l’humiliation. Lors de la colonisation européenne en Afrique, par exemple, ces fourbes de colons ont systématiquement violé nos grands-parents. Il en fut de même lors de la traite négrière et de l’esclavage arabo-musulman. En extrayant le clou d’une planche, le trou reste !
De même, les conséquences de la barbarie arabo-musulmane ne sont pas à démontrer. Ils sont évidents. Pardonner aux colons européens et arabo-musulmans nous est utile pour atténuer la frustration que ces barbares nous ont imposée. Cependant, nous devons toujours nous souvenir de leur barbarie. C’est une façon pour nous de renforcer la résilience qui nous permet de nous remettre.