Il est écrit dans Lévitique :
7.16 : Si quelqu’un offre un sacrifice pour l’accomplissement d’un vœu ou comme offrande volontaire, la victime sera mangée le jour où il l’offrira, et ce qui en restera sera mangé le lendemain.
7.17 : Ce qui restera de la chair de la victime sera brûlé au feu le troisième jour. Ici, on pourrait dire qu’il s’agit d’un sacrifice animal… Mais cela ne se peut pas, car on parle de « victime », et je ne pense pas qu’on utilise ce terme pour un animal.
D’ailleurs, quand on lit Abraham qui était près à sacrifier son fils, on doit comprendre que c’était finalement quelque chose de pas si surprenant pour eux.
Il y a d’autres passages. Par exemple, Jephté qui fait un voeu à Dieu de sacrifier à Dieu toute personne qui passera devant sa porte, et qui doit sacrifier son fils à Dieu (preuve que les sacrifices humains semblaient être une normalité pour eux) : Jephté a bien sacrifié sa fille à l’Eternel. (juges 11,39)
Toujours dans le même style :
Lévitique :
27.28 : Tout ce qu’un homme dévouera par interdit à l’Éternel, dans ce qui lui appartient, ne pourra ni se vendre, ni se racheter, que ce soit une personne, un animal, ou un champ de sa propriété; tout ce qui sera dévoué par interdit sera entièrement consacré à l’Éternel.
27.29 : Aucune personne dévoué par interdit ne pourra être rachetée, elle sera mise à mort.
Il y a tellement de preuves, mais je m’arrenterais là. Si tu cherches un assoiffé de sacrifices humains, tu sais ou regarder.
