KONGOLISOLO
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Le défi des interprétations des textes sacrés : les interprétations littérales actuelles des anciennes écritures sont tout, mais avant tout inutiles, parce que la plupart, sinon tous les écrits sacrés des époques antiques ont été rédigés de manière à ce que seuls les initiés pouvaient comprendre ce qu’ils voulaient vraiment dire, signifier ou transmettre comme message

Souvent, les textes ne parlent pas d’un moment donné, mais d’abord d’enseignements moraux habilement construits pour être transmis de génération en génération. Et comme nous le savons aujourd’hui, en Afrique, le long de la vallée du Nil, les enseignements de nos ancêtres correspondaient d’abord à la période de temps, où les observateurs célestes zodiacaux appelés également « Ntru ou Neteru » étaient divisés dans un cercle céleste calendaire imaginaire de douze arcs dont au sein de chaque arc était contenu tous les enseignements correspondant à une forme zootype particulière.

Voilà pourquoi, il est temps pour nous Africains, de réellement comprendre que nos Ancêtres pratiquaient seulement une spiritualité scientifique (observation de la nature) depuis des temps très anciens et que tous les enseignements philosophiques des « Afurakanu (Africains) » étaient calqués sur la « Grande Année » (cycle de 260 000 ans) en douze arcs d’environ 2160 années, avec chacune sa propre constellation d’étoiles.

Ce cycle de 26 000 ans était appelé la grande année sidérale ou le grand jour de manifestation !

Le défi

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