Outre la force armée marronne organisée par Mackandal, tout un réseau révolutionnaire se tisse au sein des plantations. L’arme secrète était le poison, systématiquement utilisé pour éliminer et terroriser les colons. « Trahi, Mackandal fut pris et brûlé vif au Cap en 1758 ! »
François Mackandal, Noir/Africain razzié par les esclavagistes français au Kongo et déporté dans la colonie de Saint-Domingue (République d’Haïti) organisa une importante révolte au nord-ouest de la colonie vers le milieu du XVIIIe siècle
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L’indemnité imposée par la France à Haïti en 1825, sous le ministère Villèle, un Toulousain ultra-réactionnaire qui était aussi le gendre d’un riche esclavagiste réunionnais : Madame Desbayssans, la France exigea d’Haïti, sous la menace d’un escadron de 14 navires de guerre destinés à une reconquête armée avec la restauration de l’esclavage, une fabuleuse « Indemnité », de 150 millions de francs-or
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Julius Soubise (1754-1798), est né esclave à Saint-Christophe (Saint-Kitts) en 1754; il fut acheté à l’âge de 10 ans en envoyé chez la duchesse de Queensbury, une sexagénaire excentrique et humaniste « La duchesse le mit en pension chez le maître d’armes Domenico Angelo; outre une formation d’escrime très poussée, Soubise reçu également des cours de violon, d’équitation et de comédie »