KONGOLISOLO
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Devoir de mémoire : Écoutez ce que dit cette infirmière mercenaire Blanche/Occidentale/Française, à propos des Noirs/Africains ! Les Noirs/Africains ne méritent pas de vivre ! Elle aime l’Afrique, mais les Noirs/Africains n’en valent pas la peine; prendre soin des Noirs/Africains ne sert à rien ! (L’Afrique doit prendre les choses en main car la destruction du peuple Noir/Africain est souvent causée par notre ignorance entretenue par les religions étrangères, nous sommes co-responsables de tous les malheurs qui nous arrivent dans nos vies); « Suivez l’Interview que Venance Konan a accordée à RFI »… (VIDÉO)

Nous continuons à squatter massivement les religions impérialistes du Dieu partisan et raciste qui a maudit nos ancêtres depuis l’époque de Pharaon. (Et ils ont plongé dans une véritable souffrance! La souffrance peut être physique ou psychique, selon qu’elle est principalement liée à un processus somatique ou psychique dans un organisme). « Pourtant, ce Dieu ternaire a clairement affiché (montré) son racisme et sa haine envers le peuple Noir/Africain dans les trois livres abrahamiques ».

Lorsque vous souffrez, essayez de réaliser que seule une partie de vous est affectée par cette souffrance; une autre partie reste inaccessible (votre esprit est libre), elle n’est soumise à aucune contrainte. (On surmonte la souffrance en s’identifiant à l’esprit qui est nous !)

La souffrance du corps est petite comparée à la souffrance de l’esprit. La détresse, ou la douleur au sens le plus large, est une expérience d’inconfort et d’aversion liée à des préjugés ou à une menace de préjugés chez l’individu. La détresse est l’élément fondamental qui constitue la valence négative des phénomènes affectifs.

  • La douleur (sous forme de sensation) : la nausée, la détresse respiratoire et les démangeaisons sont des exemples de souffrance physique;
  • L’anxiété : le chagrin, la haine, l’ennui sont des exemples de souffrance psychique !

Ceux qui sont malheureux ont tendance à s’identifier à leur malheur, ils se laissent envahir par lui. Et c’est ce qui est dangereux pour lui. Il doit au contraire être immédiatement en alerte et se dire : « C’est maintenant qu’il faut travailler. Je souffre, bien sûr, mais ce n’est qu’une partie de moi qui souffre ». Qu’il fasse appel à cette autre entité, son esprit, qui vit dans l’immensité, dans l’éternité, et qui est aussi lui. Du fond de cette boue dans laquelle il a le sentiment de s’engouffrer, il sentit surgir la lumière et la force.

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