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L’origine et le fondement du baptême : beaucoup sont baptisés sans connaître la vraie origine et le fondement du baptême; la pratique originelle de purification de l’âme du corps vient du culte Noir/Africain Kemet (Egypte); il y a plus de 3000 ans, (falsification de l’histoire, culte Noir/Africain) « Le judaïsme et le Christianisme n’ont fait que copier ce que les anciens Noirs/Africains pratiquaient déjà bien avant » Avons-nous une âme ? L’âme c’est moi, mais alors qui suis-je ??

L’âme ne se donne pas, elle se construit. Le problème n’est pas de savoir si l’homme a une âme ou non. Nous pouvons avoir une âme, si nous la cultivons et la nourrissons. Et nous avons aussi la possibilité de le tuer, en le niant constamment, en le ridiculisant et en le détruisant. Le drame du matérialisme athée est là, de créer des âmes mortes comme il y a des étoiles éteintes. L’âme a besoin de plusieurs vies pour se réaliser. La purification dans les périodes entre les incarnations peut se faire par le retour successif dans les quatre éléments. Empédocle d’Agrigente se souvient avoir été successivement buisson, poisson muet dans la mer, oiseau, garçon et fille.

L’âme Noire/Africaine.

  • Tous les peuples anciens croyaient aux fantômes et donc à la survie d’une âme, mais ces âmes menaient une vie très amoindrie, se traînant langoureusement dans un monde chaotique et crépusculaire;
  • La civilisation égyptienne de trois mille ans va être la première à avancer -réflexion approfondie sur les différentes parties de l’être humain. L’ensemble semble relativement complexe, mais cela semble dû au passage d’une conception primitive à une forme plus évoluée.

L’être humain apparaît composé de cinq éléments : le corps, l’ombre, le double, le nom et la forme.

  • Djet (ou sab) le corps, après le départ du repos lors de la mort, devient Khat, le cadavre. Il peut aussi devenir momie, si tous les rites d’embaumement sont accomplis sur lui, ce qui le rend indestructible;
  • Criez, l’Ombre est inséparable du corps, en Egypte tout corps a son ombre, par contre le fantôme ne projette pas d’ombre et c’est ainsi qu’on le reconnaît. Après la mort, c’est Shout the Shadow qui devient Mout le fantôme harcelant des vivants;
  • Ka, le Double, est l’élément originel de l’Egypte, qui pense que chacun a son double. Ce fut probablement la première forme de l’âme dans l’Ancien Empire. Aujourd’hui, il serait considéré comme le corps éthérique ou astral, le double fluidique;
  • Ren, le nom est une partie indispensable de l’individu. Son nom fait son être, sans nom il n’existe plus. L’effacement du nom était le grand châtiment des criminels, leur mort définitive qui les condamnait à l’anéantissement total de l’oubli;
  • Ba, la Forme est ce qui correspondrait le plus à notre notion d’âme, mais selon une tout autre réalité : c’est la forme du corps. L’âme n’est rien d’autre que la forme du corps, qui conserve une forme humaine après la mort. D’où l’importance des rituels d’embaumement et de momification. L’homme conserve une (âme) tant que son corps conserve sa forme humaine et ne se décompose pas. Ceci explique enfin l’importance de la préservation et de la conservation des cadavres en Egypte. La tombe (pyramide ou mastaba) est un gage de survie.

Ka + Ba plus tous les rites d’éveil de l’âme constituent Akh, le Bienheureux ; après toutes les cérémonies d’ouverture de la bouche, du nez, des yeux… le défunt acquiert un corps glorieux. Alors différentes possibilités s’offrent à lui, grâce au Livre des Morts qui lui indique le chemin à suivre et lui donne les mots de passe. Il peut se rendre aux Champs de Ialou où il continuera à mener la même vie (de noble, de soldat ou de fellah). Au contraire, il peut atteindre les paradis stellaires (Orion, Sirius, etc.). S’il a déjà été initié à Osiris, il devient Osiris ; mais cela s’est surtout développé au Moyen Empire. Enfin Pharaon, grâce à sa momie qui garde la forme de son corps, entre dans la grande lumière qui brille pour les morts, représentée par le soleil de minuit, Rê : (Je suis le commencement et la fin, je suis l’Unique, le moi -créé). Et il conduit sa barque dans le monde souterrain de l’Amentat.

Au fil du temps, ce privilège a également été accordé à la famille royale, puis aux nobles et enfin à tous les riches qui ont pu avoir une momie et recevoir les rites. De cette façon ils pourront éviter la seconde mort qui est la mort de l’âme. Il y a une prière spéciale pour cela : Que je ne meure pas une seconde fois dans l’Amentat. Que je ne suis pas victime de tous ces crimes qui se commettent la nuit. Puis-je ne pas être emmené à l’abattoir. Que je peux résister aux démons buveurs de sang aux dents brillantes et aux génies mangeurs de foie. Puis-je rester brillant et rassasié (Vraiment, continuellement, pour toujours). Ainsi l’Egypte considérait qu’un principe individuel et responsable survivait après la mort, à condition que le cadavre garde sa forme humaine et reçoive les rites magiques d’éveil dans l’au-delà. Grâce aux rites particuliers des cultes initiatiques (Osiris, Phénix, etc.), il était possible d’imiter Pharaon et de se donner une âme. Il en est de même de tous les rites ayant trait à l’usage de l’eau. L’origine de la pratique de purifier l’âme du corps vient de Kemet (Egypte), il y a de cela 3000 ans. En effet, au cours d’un culte, l’usage de l’eau sur le corps symbolisait la purification de l’âme de ses souillures. C’est le fondement même du baptême.

Allez-y comprendre donc que le baptême auquel sont soumis les Chrétiens est une adultération et une falsification de nos cultes africains. C’est une récupération pure et simple par le Judaïsme, Christianisme et d’autres religions.

L'origine et le fondement du baptême

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