– Chez nous (dieu) c’est l’autre, la plante, l’anima, le rocher, c’est la nature dans toute sa splendeur, c’est un être androgyne. Il n’y a pas de sauveur, pas de suivisme, chacun suit sa propre voie, la foi est rationnelle, la mort n’est pas conséquence du péché,
– Chez nous, on ne pèche pas contre dieu, mais plutôt, on commet des fautes fatales contre dieu, mais qui on le mérite de nous emmener à prendre conscience de cette partie du fluide universel, de l’énergie primordiale et de s’unir à la source.
– Dans nos traditions, il n’y a pas de livre saint, pas de dîme, pas d’alliances reçues comme récompense, car nous avons intégré la source de la conscience par ses manifestations.
– Dans nos traditions, le paradis est un plan d’existence et non un endroit au ciel qui attend ses saints habitants.
– Dans nos souches, il n’y a pas de Satan personnifie ni de Messie sanctifié, nous avons deux concepts, (le bien et le mal), (l’ordre et le désordre) : (Isfet & Maât).
– Permettez nous de revendiquer cette différence de conception de l’être supérieur, permettez nous de dire que c’est possible d’être vertueux sans être inféodé.
– C’est possible d’être intelligent sans diplôme.
– C’est possible d’être bon sans faire allégeance à un prophète.
– Permettez nous de vivre dans nos cultures avec nos traditions, voici notre vœu … Ce que nous défendons est plus grand, plus puissant que ce que nous sommes !