Mes hommes de science ont découvert un moyen qui, en versant dans leur breuvage un produit approprié, permet d’obtenir un empoisonnement à petit feu et une stérilisation complète. En travaillant sur les boissons et leur manufacture, on pourrait ainsi réduire leur population.
Notre combat pour l’unité entraîne l’utilisation de jeunes filles blanches en vue de l’utilisation de ce poison qui tue à petit feu. Notre guerre ne consiste pas à utiliser la bombe atomique pour détruire le nègre ; nous devons plutôt utiliser notre intelligence à cette fin. Il est plus efficace d’entreprendre l’opération personne par personne.
Comme on raconte qu’un noir meurt en allant au lit avec une blanche, nous avons là une opportunité unique. Nos mercenaires du sexe devront, en sortant, être accompagnés de combattants de l’Apartheid camouflés pendant qu’elles feront tranquillement leurs opérations en administrant le poison en question et en endommageant les grossesses de ces négresses auxquelles ils se seraient liés d’amitié.
Nous sommes en train de réformer l’escadrille, des mercenaires du sexe en y introduisant des hommes blancs qui auront pour tâche de courtiser les femmes noires vulnérables. « Peter Botha, président de la République Sud-Africaine, Extrait de son discours tenu le 18 août 1985 »