Sa pire situation, c’est lorsqu’elle est dans la quarantaine, son mari est déjà vieux, laid et épuisé comme le pavement frappé par le soleil. Il devient une coquille vide. Et c’est là où la deuxième étape de son propre malheur commence jusqu’à sa mort. Elle commencera à draguer tous les jeunes hommes surtout Noirs/Africains en cherchant comment combler ses besoins sexuels de première nécessité. Elle devient la seule femme Noire/Africaine qui parle mal des hommes Noirs/Africains, et surtout quand elle a cherché ici et là et que ça ne marchait plus.
Par la suite, son malheur s’accumule encore parce qu’elle a honte de marcher avec son homme pourri de Blanc. Et vous le savez bien comment ils vieillissent ces gens, ces hommes Blancs. Ne vous hasardez pas donc. S’il arrive qu’elle divorce, ça devient encore pire. Elle attribue à l’homme Noir/Africain tous les malheurs alors que ce n’est pas la faute de l’homme Noir/Africain, mais c’est plutôt le matérialisme et l’amour du Blanc qui l’ont entraîné dans le désespoir.
Si elle a eu des enfants avec son homme Blanc, ces derniers la traitent de Négresse et de salope. Ces types de femmes Noires/Africaines sont accros à Facebook et aux autres réseaux sociaux, elles passent toutes leurs journées à parler aux hommes dans la boîte de réception (…). Totalement désespérés, ils finissent mal de toute façon.