À travers une orientation très masculine, la force était devenue un à tout de choix pour subjuguer les femmes, mais dans un déni du principe féminin parce qu’elles ne pouvaient pas, n’ayant pas assez de force ou d’endurance pour participer à leurs besoins de chasser continuellement, ainsi que de se déplacer au gré des animaux sauvages, et aussi parcequ’elles ralentissaient les hommes lorsqu’elles étaient enceintes.
La nature étant leur ennemie hostile, la vie était très dure comparée à la vie relativement facile des Africains. C’est pourquoi ils ont donc développé une phobie de la Nature avec un besoin de tout contrôler et de tout dominer. C’est ainsi qu’ils ont développé d’autres traits non-Africains tels que la xénophobie, la peur de l’autre, les guerres constantes, les conquêtes orientées, l’individualisme, l’inquiétude du lendemain, le besoin d’aventure, déprendre des risques, d’être anti-créateur parce que leur « Dieu » étant aussi un « Homme de guerre ». Et ainsi de suite jusqu’à aujourd’hui !