Certaines femmes ont joué un rôle extraordinaire dans l’histoire du monothéisme, mais on ne sait presque rien d’elles. Il en est ainsi pour Séphora (Tsippora), l’héroïne du deuxième volet de la trilogie « La Bible au féminin ». Elle était la femme du prophète Moïse, elle était noire, elle était belle. Elle l’a poussé à aller libérer son peuple du joug du Pharaon et le guider vers Canaan, le pays « De lait et de miel ».
Je suis noire et belle, fille de Jérusalem. Comme les tentes de Quédar, comme les tentures de Salomon. Ne me voyez pas si noire, celui qui m’a basané, c’est le soleil. « Le Cantique des cantiques. 1, 5 – 6 »