Comme les Dogon du Mali, tous les grands peuples d’Afrique ont toujours cherché à communiquer directement avec les étoiles. Et, à l’origine, lorsqu’ils vivaient au KMT (Egypte), le terme pour communiquer était « Tellem ». Ce mot était fortement associé aux peuple de « Pa-Ta / Ptah », qui ont apporté le verbe « Télé – Communiquer » au reste de l’humanité. Dans l’Afrique ancienne, l’astrologie n’était pas simplement une mythomanie, mais un langage de télécommunications hautement divin et spirituel.
Et il ne fait aucun doute que le mot « Télévision » vient de la racine grecque « Tellum », qui n’est elle-même qu’une adaptation du terme Africain « Tellem ». Il en est de même pour la racine des mots qui ont donné : « Télépathie, Téléphone, Télescope, Télécommande, Télétravail, Téléconférence (…) ». Toutes ces choses, qui sont aujourd’hui des moyens de communication fiables, nous disent de plus en plus en substance que les peuples d’Afrique ont toujours été, en réalité, des personnes qui communiquent encore à la fois spirituellement et physiquement.
C’est pourquoi, par exemple, les Dogon du Mali en savent tellement et comprennent toujours autant sur les étoiles ou les étoiles comme « Sothis » (Sirius) ou sur des planètes telles que : « La lune, le Soleil Saturne, Jupiter, Vénus, Uranus (…) et beaucoup plus » Pourquoi ? Justement parce que, depuis Kama, les Universités Africaines ont suivi non seulement une pensée spécifique, mais aussi une idée de communication proche de celle des Dogon qui, on le sait, est à la fois spirituelle et physique.
Il s’agit là immanquablement d’une approche qui se révèle fiable, laquelle est la meilleure et elle le sera toujours, parce que n’ayant pas de limite ni physique ni spirituelle. Elle ne se termine jamais.
