Autant de thèmes inconnus des peuples sémitiques. La résurrection d’Osiris était l’essence de la spiritualité Kemit alors que d’autres peuples niaient l’immortalité de l’âme, et donc les récompenses ou punitions dans l’au-delà. Des millénaires avant notre ère, Horus était appelé « Le KRST », C’est-à-dire « l’Oint », bien avant que les chrétiens ne reprennent l’histoire. Il était aussi le Chemin, la Vérité, la Lumière, le Messie, le fils oint de Dieu, le Fils de l’homme, le Bon Pasteur, l’Agneau de Dieu.
La croix Ankh était le symbole de la vie éternelle tout comme le poisson était apparenté à Osiris. Et tout cela avant que l’Église, sous la tutelle de Constantin, ne vole tous ces concepts pour à leur tour justifier l’immortalité de Jésus. Aujourd’hui, on peut encore observer dans diverses peintures chrétiennes, l’iconographie et les symboles égyptiens : tout est plagiat sur plagiat. On comprend mieux pourquoi Jésus est au milieu de deux anges lors de sa résurrection. Évidemment, dans la version originale, ce sont Isis et Nephthys qui ramèneront Osiris à la vie.