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Devoir de Mémoire : Comme partout ailleurs sur la planète Terre, les premiers habitants de la Grèce et des îles de la mer Égée étaient des populations Noires venues du Sahara, de la vallée du Nil, de Kanaan et plus tard de l’Inde, (ce conglomérat de populations Noires fonda Athènes, Thèbes, Théra et l’Attique avant d’occuper une grande partie des territoires et des îles de la mer Égée); « Selon les anciens auteurs grecs, les premiers hommes à civiliser la terre s’appelaient les Pélasges, qui étaient une combinaison de différentes tribus Noires/Africaines qui comprenaient (les Garamantes, les Mycéniens, les Minoens, les Achéens, les Kadméens et bien sûr les peuples Nilotiques qui fondèrent ensemble les cités grecques de Thrace, de Crète minoenne et d’Attique) »

Le terme Pélasges s’appliquait essentiellement à tous les habitants préhelléniques de la Grèce, comme les Garamantes qui étaient également décrits par la plupart des auteurs classiques d’origine latine (Perusti, Furni, Arnoloius ou Nigra) comme une population Noire. « Selon Hérodote, les Pélasges (Minoens, Mycéniens) pratiquaient encore la descendance matrilinéaire même à son époque tandis que les Cariens (Garamantes) prenaient toujours le nom de leur mère ».

Les Garamantes classiques et les Égyptiens étaient très proches car ils avaient leurs origines dans le même Croissant fertile Noir/Africain, ce qui explique pourquoi ils avaient de nombreuses divinités similaires ainsi que de nombreuses traditions culturelles similaires remontant à la période proto-saharienne.

Dans son livre (Le Mystère de Sirius), Robert KG Temple montre que la plupart des mots les plus courants du vocabulaire grec étaient d’origine Noire/Égyptienne. Le professeur Cheikh Anta Diop soulignera également l’origine Égyptienne de nombreux termes grecs.

Les peuples nilotiques avaient de nombreuses colonies dans la vieille Europe où ils étaient appelés Mélampodes ou Mélanopodes (Pieds-Noirs), mais aussi tribu de Dan ou Danéens dans l’Histoire de la Grèce. Selon Hyainus dans son livre (Fabula, Apollinius de Rhodes), les Danéens qui sont arrivés en Grèce étaient une combinaison de diverses tribus Noires/Africaines. « Les traditions grecques parlent aussi de colonies égyptiennes fondées par le pharaon Cécrops (Senusret/Sesotris) qui s’installa à Atika et Danaos, tout comme Agyptos qui fut le fondateur de l’Argolide et du Danaos où il enseigna l’agriculture aux Grecs. Leurs traditions disent aussi que le nom (d’Europe) vient du nom d’Aéropa, fille du roi Kadmos; une Pélasge des îles crétoises ».

Des fragments de pierres gravées de Medu Neter découverts dans le Péloponnèse datant de la Ve dynastie, confortent encore la thèse de la création nilotique d’un des premiers alphabets grecs, là où on avait déjà trouvé un autre alphabet proche de l’écriture proto-saharienne qui était encore utilisée par les fondateurs de la XIIe dynastie. François Attelage dans son livre (Monde mystérieux) affirme que la tombe de Ramsès II contient des écritures similaires aux caractères grecs.

L’historien Pline écrit également que les écritures égéennes ont été créées par un Égyptien nommé Ménos. Les Mycéniens étaient une combinaison de deux peuples noirs, l’un de Crète et l’autre du Sahara occidental qui selon l’archéologue Alain Anselin parlaient une langue dravidienne, en particulier celle des Termiles d’Asie Mineure. « Ce n’est que bien plus tard que les Grecs hellénistiques du Caucase ont adopté la langue des Pélasges puis celle des Égyptiens même si de nombreux savants malhonnêtes enseignent aujourd’hui au monde le mensonge, que la langue grecque est entièrement d’origine indo-aryenne ».

Il existe encore de nombreuses traces d’Africanité dans la culture antillaise, qui transparaissent encore en nous à travers de nombreuses traditions comme la beauté de nos coiffures. Même si ces traditions ont connu des évolutions dans la diaspora Afro des Amériques et des Caraïbes, les figures géométriques tressées que l’on retrouve dans nos coiffures s’apparentent encore aux Fractales des tissus Bakuba du Kongo entre autres, et sont toutes dignes d’un célèbre architecte et mathématicien, connu sous le nom d’Imhotep.

Dans la diaspora Afro-Caribéenne notamment, il est encore d’usage de ne pas couper les cheveux des enfants, mais de les tresser ou les tresser, jusqu’à l’âge de 3 ans afin de favoriser le développement du langage comme disent nos ancêtres et dont la pratique est liée aux cultures d’Afrique, notamment aux anciens rites nilotiques, où les jeunes Princes étaient coiffés d’une tresse froncée sur le côté comme le font encore les Peuls et les Himbas jusqu’à la période de l’Âge Initiatique.

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