Le quartier de Wall Street est devenu aujourd’hui la plus grande bourse du monde des affaires grâce à la traite négrière, au pillage des matières premières Africaines et à l’humiliation des peuples Noirs/Africains.
Les défis économiques des Noirs/Africains face à leur intégration : la réussite économique et le bien-être des Noirs/Africains ne dépendent pas de l’intégration, mais de leur organisation économiqu; partout en Occident, les Blancs/Occidentaux tiennent beaucoup à l’intégration des Noirs/Africains comme si celui qui n’arrive pas à s’intégrer devenait un marginal, un paria ou un résidu de la société.
Selon Malcolm X, l’intégration des Noirs/Africains n’est en aucun cas pour leur développement, mais plutôt pour une organisation forte. De son vivant, il a fustigé le caractère égocentrique des Blancs/Occidentaux tout en dénonçant l’attitude suiveuse des Noirs/Africains qui s’alignent derrière la vision du monde Blanche comme la vague notion d’intégration.
Les Noirs/Africains devraient contrôler l’économie de la communauté Noir/Africaine, (ils devraient acquérir les connaissances nécessaires pour diriger des entreprises et créer des emplois pour leur population). C’est sérieux ! Le Maître/Blanc a dit que Malcolm X était un extrémiste pour que vous n’étudiiez jamais son idéologie. Et bêtement, les Noirs/Africains acceptent et répètent cela.
Malcolm X, avait compris il y a plus de 60 ans, l’intérêt pour les Noirs/Africains de s’organiser économiquement au lieu d’attendre une quelconque possibilité d’intégration de la part de ceux qui ont et qui continuent à mépriser les Noirs/Africains depuis cinq siècles. Et jusqu’aujourd’hui encore, les Noirs/Africains n’ont toujours pas compris ça !
L’intégration n’est pas loin de l’extermination. Les Blancs/Occidentaux veulent, en appelant à l’intégration, exterminer culturellement les Noirs/Africains. Cependant, un peuple ne peut prospérer économiquement que s’il est culturellement fort.