KONGOLISOLO
Devoir de Mémoire – Donga : l’art martial Nègre des vaillants guerriers, Surma d’Éthiopie; c’est une lutte traditionnelle Noire/Africaine d’origine éthiopienne; (l’un des principes de cette lutte est que personne ne perd, personne n’est jamais vaincu, personne n’est vainqueur); « Dans cet art Noir/Africain, seul compte le combat, la joute entre les deux combattants; (les cicatrices reçues symbolisent l’héroïsme de leur porteur et qu’il est prêt à donner sa vie pour ses proches, pour son peuple) » … (VIDÉO)
Devoir de Mémoire : Pourquoi alors, lorsqu’une fille/femme tombe enceinte, tout le monde vient-il lui caresser le ventre et la féliciter ? Mais, curieusement, personne ne vient jamais caresser les testicules de l’auteur de la grossesse pour le remercier ?? « Après tout, la fille/femme ne peut pas concevoir seule; Et l’homme/père est le géniteur de la grossesse, mais pourquoi n’a-t-il pas également droit à des félicitations ?? C’est étrange, mais pourquoi ?? »
Devoir de Mémoire : Mariage dans l’Égypte Ancienne, Kultur Ekang Nna/Canaan/Civilisation Fang (Fang Beti) – bijoux pour (Dot de mariage) Bracelets & collier très ancien (période – Égypte Ancienne); « Cela montre que les temps anciens étaient plus avancés que certains pays actuels (les filles de l’Égypte ancienne se mariaient entre 15 et 18 ans, les hommes vers 20 ans) »

Mariage africain

Trop de confusion sur la tradition de raser la tête d’une femme qui vient de perdre son mari, (comme qu’il y a tant de confusions, il est de la plus haute importance de lever l’ambiguïté de ce rituel très significatif et d’éclairer les lanternes de ceux qui s’intéressent à la culture Noire/Africaine); bien sûr, il ne s’agit pas ici de tout dire sur le rituel, mais de parler de généralités et selon les ethnies ou les régions; certes, on peut trouver des petites particularités ou subtilités, mais cela dépend du milieu et des spécificités, selon les personnes : Savez-vous pourquoi en Afrique Noire on rase la tête d’une femme devenue veuve ?

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L’attirance et la vibration dans la soi-disant amour (qui se ressemble s’assemble), ce dicton exprime mieux la loi d’affinité ou d’association; de même, dans la soi-disant amour, (on attire ce que l’on vibre), en vertu de cette même loi : Nul n’attire ce qu’il ne vibre pas, (c’est une phrase qui, parfois, peut s’avérer si difficile à entendre pour certains, mais la richesse qu’elle contient est grande); « Combien de fois n’avons-nous pas entendu les gens dire, (nous savons que nous sommes de bonnes personnes, qu’est-ce qui nous fait toujours d’attirer ce genre de partenaires qui nous rendent malheureux ?), mais en déclarant ainsi,on se trompe, car si nous étions de bonnes personnes, nous devrions nécessairement attirer de bonnes personnes vers nous »

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Résolution des conflits conjugaux chez les Baoulé sur fond de croyances complexes : la vie n’est pas rose tous les jours dans le foyer, les choses tournent parfois mal dans le foyer, surtout quand c’est la femme qui est incriminée, et la résolution d’un tel différend n’est pas une tâche aisée dans le sens où elle nuit à l’harmonie du couple; « Dernièrement, nous avons réfléchi aux leçons que nous recevons des générations précédentes (et des vies précédentes), qui peuvent aider nos relations à prospérer; en pensant spécifiquement à l’expérience d’être marié et/ou séparé et d’avoir des parents et d’innombrables autres membres de la famille qui ont vécu la même chose »

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Kongo : Baluba, le sens de (Tshibawu) ou la culpabilité et ses conséquences sur le contrevenant; dans la culture Luba, si le verdict sur l’adultère ou (Tshibindi) est impitoyable, il existe néanmoins une jurisprudence « Nos ancêtres ne sont pas des monstres insensibles et impitoyables; leur souci constant est la cohésion, la stabilité, la paix dans les familles; dans la gestion d’une situation d’adultère, chez les Luba, il y a un couloir étroit de pardon et d’engagement nouveau pour une femme adultère »

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La portée de la culture Yoruba sur la littérature et la philosophie : la sculpture Yoruba est littéraire, les Yoruba racontent le récit philosophique de la divinité dans IFA (spiritualité scientifique Yoruba; elle révèle des aspects existentiels et ontologiques « Dans cette magistrale sculpture Yoruba de Fakeeye, elle se trouve représenter Obatala (l’Orisa de la conscience) avec sa main droite, tenant le poulet (symbole d’Ebo/sacrifice) qui était au début de la création »

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