D’abord en pensant que c’était un échec personnel, puis en apprenant que c’était une habitude familiale, que c’était juste une partie d’un cycle, où les choses se terminent, pour permettre à de nouveaux voyages et cycles de commencer.
- Pourtant, notre esprit est obsédé par les leçons. Qu’aurions nous pu faire de mieux?
- Comment pouvons-nous éviter de nous noyer dans la culpabilité des erreurs passées ??
- Qu’est-ce que nos parents auraient pu faire différemment ??
- Pourquoi ne nous ont-ils pas dit la réalité plus tôt ou est-ce nous qui ne voulions rien savoir ou apprendre d’eux ??
- Méritons-nous vraiment de meilleures relations si nous n’avions pas réparé la relation que nous entretenons avec nous-mêmes ??
- Nos besoins et désirs peuvent-ils être satisfaits si nous ne savons pas qui nous sommes ??
- Que faire quand l’amour ne suffit pas ??
Chez les Baoulé de Côte d’Ivoire (Afrique de l’Ouest), lorsqu’une personne est confrontée à un problème personnel lié au mariage ou à la fécondité, il est d’usage que cette personne consulte un Komian (devin), pour en déterminer la cause et envisager une éventuelle solution. Le système de croyance chez les Baoulé est complexe, en particulier en ce qui concerne la croyance que lorsqu’on naît dans ce monde, un amant d’un autre monde appelé « Blolo » ou « Bian », (conjoint spirituel) est laissé dans le monde des esprits. Cet esprit peut devenir (jaloux) des relations d’un individu sur le plan physique et peut perturber la vie de la personne jusqu’à ce qu’un sanctuaire soit construit pour l’honorer ou l’apaiser.
S’il s’agit de sculpture, par exemple, alors la figure elle-même est une offrande. La sculpture doit être belle afin d’apaiser l’esprit du conjoint et de l’attirer dans la figure.