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Chers frères et sœurs Noirs/Africains, comment le glorieux patrimoine de l’Afrique a-t-il été saboté et volé ? Les témoignages de Platon et d’Hérodote sont sans équivoque; « La conquête d’Alexandre accompagnée de la destruction (des Temples Mystérieux, des loges et des bibliothèques de Kemet), puis plus tard de celle des édits romains de Théodose et Justinien, a fini par supprimer les Systèmes Mystérieux Noirs/Africains, ce qui a contribué à ouvrir la voie au christianisme, qui n’est qu’un vieux concept Noir/Africain mal copié »

Cependant, ce n’est qu’après l’invasion d’Alexandre que les Grecs furent autorisés à étudier en Afrique, où ils étaient auparavant interdits en raison de leurs pratiques de piratage, de plagiat et de vol. C’est pourquoi les Noirs/Africains de la vallée du Nil avaient été contraints de mettre en place des lois drastiques, restreignant l’immigration brutale (des Perses, des Grecs ou de tout autre étranger), dont la violation pouvait être passible de la peine capitale.

Bien que le roi Amosis ait par la suite levé cette restriction, autorisant les commerçants à entrer dans le delta du Nil, ils n’étaient pas autorisés à y étudier, du moins pas jusqu’à l’invasion perse. Cela n’a pas été le cas, car après la conquête orchestrée par Alexandre, les Grecs avaient un accès définitif au savoir ésotérique égyptien en participant aux enseignements des Maîtres et des Prêtres, et en fréquentant les bibliothèques royales dont la célèbre (Raktt) de la Ville de Râkotis, qui deviendra plus tard être transformée en une ville grecque, connue jusqu’à aujourd’hui sous le nom d’Alexandrie.

Même Platon, qui aspirait à la sagesse grecque et qui visita également l’Afrique pour son initiation à l’École des Mystères, témoigna également que les prêtres de la vallée du Nil ne faisaient que se référer à eux ou s’adresser à eux. comme des enfants qui ne savaient rien. Aussi ignorants qu’ils étaient à leur arrivée en Égypte, ils revinrent en Grèce avec des connaissances scientifiques et spirituelles si élevées que les Grecs les adorèrent.

L’historien Hérodote a également confirmé que les Grecs, connus sous le nom de (Pythagoriciens), n’ont pu étudier en Afrique qu’après que le roi de Samos leur ait remis une lettre d’autorisation des prêtres de la Bibliothèque de (Ra-Khedt), et que même s’ils avaient accepté cette introduction, qu’ils devaient subir plusieurs épreuves d’admissions et d’initiations, dont la circoncision qui était obligatoire.

Source : Georges Granville Monah James (Historien – Patrimoine volé).

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