Ce sont des pays industrialisés selon le modèle capitaliste où le capital est concentré entre les mains des une poignée d’industriels qui amassent des richesses en volant la (plus-value) produite par la classe ouvrière, c’est-à-dire les travailleurs du monde entier. Au bas de l’échelle se trouvent les pays dits sous-développés, dont la plupart se trouvent en Afrique.
Ces pays ne produisent que les matières premières destinées aux pays capitalistes. Les produits manufacturés y reviennent en (Afrique) excessivement chers que le prix initial de ces matières premières. Par ce biais, l’Afrique est tout simplement pillée. « Prétendant assurer des conditions de vie décentes à leurs populations, c’est ainsi que les dirigeants Noirs/Africains recourent à l’aide des pays industrialisés juste pour permettre la construction des infrastructures qui facilitent la production et le transport des matières premières pillées à destination des pays industrialisés ».
C’est une fois de plus sur le dos de la classe ouvrière que cette soi-disant aide (prêt) sera remboursée avec des intérêts faramineux. Ces capitalistes créent, par ce biais, une bourgeoise compradore, qui ne profite qu’aux dirigeants et à ceux qui facilitent la tâche du système capitaliste. Cette classe, dans les pays dits (sous-développés), vit presque au même niveau que ses maîtres capitalistes Blancs/Occidentaux.
Parce qu’ils ont étudié, pour la plupart, dans ces pays Occidentaux, ou du moins, ils conçoivent le monde selon leurs théories et leurs modèles. De nombreux pays Noirs/Africains, après leur indépendance, se sont retrouvés économiquement par terre car le système capitaliste a dû revenir en force lors de la colonisation.
En conséquence, les choses n’ont pas changé en Afrique après l’indépendance. Le reste de leur peuple, c’est au diable ! L’hypocrisie est donc répandue, celle de l’aide des Blancs/Occidentaux, et de l’idiotie de dirigeants Noirs/Africains.