Tous ces contes, histoires, devinettes, dictons et proverbes, que certains peuvent considérer comme triviaux, contiennent des vérités cachées aux profanes. Leur tout constitue le sacré. Nous sommes devenus des peuples immatures qui ont jeté leurs préceptes sacrés dans l’aliénation en cherchant à vivre en Occident, mais nous n’échappons pas à ce qui nous constitue profondément : « Le sacré ».
La Statue de la liberté de New York était à l’origine Noire/Africaine, mais les Blancs Américains l’ont repeinte de couleur Blanche l’on ne sait pourquoi. « Elle représente de manière générale la liberté et l’émancipation vis-à-vis de l’oppression ». Et pour l’image illustrative de cet article, la femme aux yeux bandés illustre comment les Noirs/Africains ont fermé les yeux sur leurs cultures et leurs valeurs. Et qu’il est grand temps que chaque Noir/Africain se lève pour assurer la défense de la culture et des valeurs Noires/Africaines (symbole de l’épée) dans la justice et l’équité (symbole de la balance).
Bref, le symbolisme est une expression profonde de l’âme. C’est aussi l’expression d’une réalité totale et enracinée. La profondeur des racines du symbole est illimitée. Il envahit les fondements de la réalité apparente. Ces racines sont à l’origine du fruit. Fruit en train de naître dans le monde. Donc pour comprendre le fruit, il faut imaginer les racines.
Un peuple, qui ne sait plus interpréter ses propres signes, ses propres mythes, ses propres symboles et ses propres coutumes, devient étranger à lui-même.