Le mariage est né du désir de deux personnes de vivre ensemble et ainsi fonder une famille. La femme pouvait choisir son mari et ses parents ne pouvaient s’y opposer; il ne fait aucun doute que l’appartement convenait aux nobles et à la royauté.
La polygamie n’était pas interdite, mais pratiquée uniquement par l’élite de la population. Cependant, si la femme commettait un adultère, elle risquait d’être condamnée à mort. Chez les hommes, cela n’a conduit qu’au divorce. La femme vit avec son mari, et la dot donnée à la mariée par ses parents lui permet de vivre plus ou moins aisément.
En cas de divorce, la dot revient à l’épouse. Le but principal du mariage est d’avoir des enfants. En cas de stérilité, l’adoption était un recours couramment utilisé compte tenu de l’importance de la transmission.
Si la femme perd son mari, elle devient totalement indépendante dans sa vie familiale, sans aucun tutorat de la belle-famille. Elle hérite d’un tiers des biens et de leurs enfants respectifs le reste. Si l’un des enfants manque de respect, elle a le droit de le déshériter.