Vers 1550 ou 1500, avant l’existence présumée de Jésus, ces textes égyptiens faisaient déjà référence à l’Immaculée Conception, au Baptême, à la Résurrection, au Jugement dernier et à la promesse de la vie après la mort.
Dans la spiritualité Kémit (égyptienne), Osiris était considéré comme un Neter (Dieu manifeste), qui vivait parmi les hommes, qui souffrait de passion, mourait et ressuscitait pour la vie éternelle; puis il prit place auprès de son Père céleste où il présidait le tribunal des morts. (Comme on peut le voir sur le papyrus ci-dessous).
Des millénaires plus tard, les auteurs du Nouveau Testament, en manque d’inspiration, reprendront les mêmes concepts et les attribueront à leur soi-disant Jésus. (2 Corinthiens 5 :10 et Jean 5 :22), sur la même fresque, on peut voir Horus (tête de faucon), qui est le fils de Dieu (Osiris), prendre la main du défunt pour le ramener auprès du Père (assis sur son trône). Par coïncidence, dans Jean 14 :6, (Jésus, fils de Dieu, dites-nous, qui a copié qui ?
Voici ce que dit Christiane Desroches Noblecourt, conservatrice en chef honoraire du département des antiquités égyptiennes du musée du Louvre et ancienne professeure d’archéologie à l’École du Louvre : « Et maintenant je suis presque convaincue que la religion chrétienne primitive (…), est venue du fond des temples d’Égypte, des sages, des grands architectes, des vrais sages ».