KONGOLISOLO
Devoir de Mémoire : Où ont été enterrés Jésus-Christ et son entourage ? L’histoire de Jésus-Christ et de ses compagnons n’est pas digne de confiance, car elle manque de fondements et de preuves scientifiques; « La vie de Jésus Christ est une épopée époustouflante, malheur aux Caucasiens, ils ont retrouvé nos ancêtres royaux partout dans le monde, ils ont été époustouflés par la vie sublime des Pharaons) »
Devoir de Mémoire – origine du mot (Momie), ce mot vient du latin Mummi qui dérive à son tour de l’Arabe (Mumya), qui lui-même tiré du mot (Mom), en langue Yéménite ou persane et qui désigne l’asphalte ou le goudron; « C’est au VIIIe siècle que les envahisseurs Blancs/Occidentaux, en particulier les historiens et les écrivains Arabes, ont commencé à se renseigner sur les pratiques funéraires de l’ancienne Afrique pharaonique » … (VIDÉO)
Devoir de Mémoire : La résurrection de Jésus-Christ, usurpation d’une conception Noire/Africaine/Égyptienne, (la spiritualité Noire/Africaine/Égyptienne avait une particularité décisive et puissante; elle exerçait une empreinte influente sur les monothéistes actuels); « C’est sur le continent Noir/Africain qu’est apparue pour la première fois l’idée (du baptême, de la Trinité, de l’incarnation, de la rédemption, du jugement dernier, du paradis et de l’enfer) »

Mystères

L’Afrique : ses peuples, ses traditions, sa culture, ses langues, son histoire, ses symboles, tout a été mal perçu par les chercheurs européens avec leurs mentalités Occidentales; nous devons raconter notre propre histoire « C’est pourquoi nous devons mettre les choses au clair, en montrant les faits de la suprématie et l’antiquité des moyens donnés par nos ancêtres divins pour utiliser le pouvoir du Paa Neteru comme dans Kemet aussi appelé Abosom chez les Akan, Orishas chez les Yoruba et Voodoo chez les Fon de Bénin »

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La tradition et la culture des peuples Noirs/Africains ne sont pas diaboliques : pour avoir blanchi son Dieu, l’homme Blanc a développé, depuis plusieurs siècles, des théories de diabolisation de tout ce qui a trait à la culture ou à la tradition des peuples Noirs/Africains « Pratiquement, on a associé au (Noir), toutes les épithètes négatives (magie Noire, page Noire, Frères Noirs, idées Noires » 

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Quand les géants régnaient sur terre : Enki et Enlil ou Caïn et Abel Seth et Horus ou Tusti et Hutu, l’histoire continue et c’est l’histoire d’un éternel recommencement (pour beaucoup d’exégètes bibliques, le contexte du drame Caïn-Abel rejoint le conflit sans fin et universel, partout sur la planète, entre agriculteurs et bergers), de pareils conflits sont décrits dans les textes sumériens comme inhérents à l’histoire de l’humanité « Ce thème fait la trame de l’un d’eux, que les spécialistes nomment (le mythe du bétail et du grain), où Enlil incarne la divinité de l’Anshan (grains et travail de la ferme), et Enki celle du Lahar (bétail à laine, et gardiennage de troupeaux) »

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La soi-disant spécialité des animistes : les hommes Blancs/Occidentaux ont appelé (Animiste ou animisme), notre système de symbioses, de symboles et de (pléonasmes), avec tous les éléments qui nous entourent (la terre, l’air, l’eau, le ciel, le feu, la faune, la flore et toutes ces énergies invisibles qui émanent d’eux ou que, soit dit en passant, la planète Terre reçoit) « Ces mêmes hommes Blancs/Occidentaux nous enseignent dans leur école, avec leurs propres langues, que le suffixe (ISTE), souvent lié au suffixe (ISME) de chaque doctrine, est placé à la fin d’un mot pour désigner un (pécialiste) »

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Ekang (Fang/Beti) le rite d’initiation Byeri : le Byeri ou Byer est un rite d’initiation secret et masculin pratiqué par les Ekang; c’était certainement l’initiation la plus essentielle et la plus importante pour un jeune Fang-Beti-Bulu « Le Byeri, c’est à la fois des reliques d’ancêtres que chaque famille tenait dans une boîte, une statuette en bois d’environ 25 à 50 centimètres, un rituel et l’Alan (Melan) plante; selon Samuel Galley, le Byeri est le fétiche Ancestor Skull, ou morceau de crâne humain dans une boîte en écorce (Nsekh ô byeri) »

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