Autant de thèmes, méconnus des peuples sémitiques. La résurrection d’Osiris était l’essence de la spiritualité Noire/Africaine/Égyptienne, alors que d’autres peuples niaient l’immortalité de l’âme, et donc les récompenses ou les punitions dans l’au-delà.
Des millénaires avant notre ère, Horus était appelé (Le KRST), c’est-à-dire (l’Oint), bien avant que les chrétiens ne reprennent cette histoire. Il était aussi le Chemin, la Vérité, la Lumière, le Messie, le fils oint de Dieu, le Fils de l’homme, le Bon Pasteur, l’Agneau de Dieu.
La croix Ankh était le symbole de la vie éternelle tout comme le poisson était lié à Osiris. Et tout cela avant que l’Église, sous la tutelle de Constantin, ne vole tous ces concepts pour justifier à son tour l’immortalité de Jésus. « Aujourd’hui, on peut encore observer dans diverses peintures chrétiennes, iconographies et symboles Noirs/Africains/Égyptiens (tout est plagiat sur plagiat) ».
On comprend mieux pourquoi Jésus est au milieu de deux anges lors de sa résurrection. Bien évidemment, dans la version originale, ce sont Isis et Nephthys qui redonneront vie à Osiris.